L’article 50 n’est qu’une entourloupe de plus : il servirait à Bruxelles à gagner du temps pour obtenir une marche arrière. L’insistance de l’UPR à ce sujet a quelque chose de suspect. Asselineau aurait-il peur de son ombre ? Pour sortir de l’OTAN (pour dire vite) De Gaulle a-t-il eu besoin d’un « article 50 ».
Il nous faut moins de juridisme et de plus de caractère.