Prenez 4 personnes au hasard, témoins d’un évènement quelconque. Demandez leur de tout consigner au bas mot une trentaine d’années plus tard ; pour chacun des rapports, rajoutez-y éventuellement un zeste de transmission orale...
Le truc suspect aurait été une cohérence totale entre les 4 versions. C’est paradoxaleemnt cette non-cohérence qui amène certains historiens à affirmer l’historicité des Evangiles (pour la partie non « mystique », du moins)