@ Fabrice
vous oubliez un point de détail : les journalistes sont pour la plupart de simples employés. Ils sont liés à leurs employeurs par un contrat lequel est organisé autour d’un lien de subordination.
Les journalistes font ce que leurs employeurs leur disent de faire. C’est tout. Ce n’est pas très glorieux mais une fois l’ego rangé dans le placard, c’est ça le réel.
Ils écrivent donc ce qu’ils ont à écrire, sinon c’est le chômage.
La liberté de la presse en soi n’existe pas. Du pluralisme naissait la discordance et de celle-ci un peu de vrai ou de vraisemblable. Maintenant que le pluralisme disparaît...