Un appel à peine déguisé à la violence séductrice n’a pas grand rapport avec la liberté, pas plus que la liberté de mépriser la démocratie telle qu’elle est pour ce qui peut apparaître comme un projet totalitaire (extrême droite/ extrême gauche)
Il y a un précédent historique : Jacques Doriot passé du PC à la collaboration la plus meutrière.
La liberté des assassins, des tortionnaires et des négationnistes de s’exprimer est contraire aux valeurs de la république, car la liberté présuppose le rejet de la violence (guillotine) et des propos qui la légitime. Le violence ne peut être un moindre mal (et non un bien) que contre un régime totalitaire ou despotique et nous en sommes très loin.
Aucune révolution violente n’est souhaitable ni possible en France ; ne sont possibles sur fond de la thèse de cet article que des violences sans débouchés politiques de liberté possible. Ces débouchés ne pourrait être, s’il étaient possibles, que liberticides et sanglants.