On peut s’en moquer effectivement, seul le côté poétique compterait.
Mais dans ce cas, on ne les citerait pas pour prouver ou à tout le moins étayer une affirmation voulant que spiritualité et sexualité - dans le cas du cantique c’est plutôt d’érotisme qu’il conviendrait de parler - sont en harmonie l’une avec l’autre.
Que ce cantique ajouté sur le tard au canon, ait pu être accepté comme authentique par des générations d’exégètes me dépasse et continuera à me dépasser. Mais il est vrai que je ne passe pas pour être un esthète amoureux des belles lettres. Par contre, j’ai une idée je le crois assez précise de la frontière entre sacré et profane
Bonne soirée