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En réponse à :


soi même 7 janvier 2013 10:16

@ Pilou Camomille, certain son tous simplement aveugler par leur contre ce si contre cela, et pense que l’indépendance régionalisme soit la meilleurs solution.
Le post que j’ai produit de Yanne est typique, du régionaliste qui a gobé la phrase de W Wilson qui fait partie des 14 points qui on servie au traité de Versailles en 1918 ,Le président américain Wilson souhaite surtout défendre les principes exposés dans ses quatorze points (défense de la paix, droit des peuples à disposer d’eux-même, institution d’une société des Nations...)

Je vous communique une analyse très fine sur le sujet.

« L’imposture du ’’droit de peuples’’

Le « droit des peuples à disposer d’eux-mémes » n’existe pas. En effet, parler de droit des peuples revient à reconnaître une « liberté du peuple ». Or, le principe de liberté d’un peuple est complètement dénué de sens.

S’il existe au sein d’un groupe des gens privés de liberté (des prisonniers par exemple), peut-on dire que ce groupe est libre ? Faut-il que la majorité absolue des individus soit libre ?

Que la totalité le soit (et dans ce cas, il ne peut exister de peuple libre) ?

Les deux tiers ou les trois quarts ?

En réalité, il n’existe pas de définition de la liberté du peuple pour la bonne raison qu’elle est indéfinissable. En revanche, une "société libre" est tout à fait concevable car on considère alors le principe de fonctionnement de la société, qui dans ce cas serait respectueux des droits des individus.

Disposer de soi-méme signifie étre libre et responsable. Le principe est facilement applicable à un individu mais il est très difficile d’imaginer ce que veut dire qu’un peuple puisse disposer de lui-méme. Cela pourrait signifier que le peuple dans sa totalité, mille, un million, un milliard d’individus, est libre de vivre comme il l’entend, de choisir le gouvernement qu’il désire et les lois qu’il devra respecter.

Mais cette notion est extrémement perverse car elle accepte implicitement la dictature de la majorité qui pourra exercer des contraintes sur les minorités qu’elle souhaitera opprimer. Le droit du peuple, conséquence de sa « liberté » autorise donc que ses membres subissent le joug de la volonté générale.

Le droit des peuples à disposer d’eux-mémes est en fait un fantastique leurre qui n’a été élevé au rang de valeur fondamentale que dans un seul but : éluder la question du droit des INDIVIDUS à disposer d’eux-mémes.

Le droit des peuples va méme à  l’encontre du droit des individus car il implique, comme nous l’avons vu, le droit du peuple à disposer des individus qui le composent, victimes d’une majorité élue ou d’une minorité influente ou armée à qui la loi confère le privilège de décider pour tous.

Ce droit est donc la consécration de la vision communautariste, qui fait de l’individu une fraction au service et à la merci de l’ensemble, en opposition totale avec l’idée individualiste qui fait de la liberté individuelle la seule liberté qui soit.

Est-il étonnant de voir les gouvernants et représentants de l’Etat défendre avec tant d’ardeur cette pseudo-liberté, ce faux droit ?

Absolument pas si l’on a compris qu’ils sont les bénéficiaires de cette situation qui confisque aux individus le droit de disposer d’eux-mémes pour le remettre entre les mains du « peuple » et donc de ses représentants.

Car il ne faut pas perdre de vue cette idée très claire dans la téte des collectivistes qui nous gouvernent et s’offrent le luxe de décréter quels sont nos droits et nos devoirs (ou plutôt leurs droits et nos devoirs) : le peuple n’est qu’une masse inerte à qui seul un gouvernement peut donner vie, un monstre barbare qu’il faut éduquer, punir, surveiller, conseiller, que dis-je, commander !

Le peuple en tant que tel n’est digne d’aucune responsabilité. Seuls ses représentants, seul l’Etat sont capables de juger, sont aptes à  disposer.

Le "droit des peuples à disposer d’eux-mémes« est donc le synonyme politiquement correct du »droit des gouvernements à disposer des individus".

C’est pourquoi il est de notre devoir non seulement de dénoncer ce « droit » car il repose sur un principe abstrait et absurde (la liberté du peuple) mais surtout de le combattre car il est l’antithèse de la liberté individuelle, pilier d’une société libre.

Promettre aux peuples le droit de disposer d’eux-mémes est donc plus qu’un mensonge, c’est un piège ! »

Alors que la véritable solution est de retrouvé notre autonomie de la souveraineté pour établir dans son cadre la démocratie participative . Qui est une forme de partage et d’exercice du pouvoir, fondée sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique. On parle également de « démocratie délibérative » pour mettre l’accent sur les différents processus permettant la participation du public à l’élaboration des décisions, pendant la phase de délibération. La délibération participative ou délibérative peut prendre plusieurs formes, mais elle s’est d’abord instaurée sur le terrain de l’aménagement territorial et de l’urbanisme, avant de s’étendre dans les champs de l’environnement. Dans ces cadres, les associations jouent un rôle central en tant qu’interlocuteurs pour les autorités publiques.

Ce que je déplore qui manque dans le programme de François Asselineau, c’est qui n’a pas encore exploré l’Idée de la Démocratie Évolutive

(Démocratie Évolutive

La Démocratie Évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l’émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité des citoyens.

La Démocratie Évolutive c’est :

  • Une gestion des affaires publiques par la société civile
  • La fin des réformes par le haut
  • Le droit à l’expérimentation
  • L’évolution au lieu de la révolution
  • Le droit au référendum et à l’initiative populaire
  • Une Économie à Valeurs Humaines
  • Des Services Publics Citoyens
Principes de la Démocratie Évolutive

1. Une gestion des affaires publiques par la société civile

La Démocratie Évolutive permet à chacun de développer une citoyenneté créative, favorisant l’émergence de nouvelles formes sociales lesquelles deviennent le reflet des aspirations individuelles et collectives, à un moment donné. Ces formes sociales sont évolutives, à la mesure de la mobilité et de la créativité des citoyens.

2. La fin des réformes par le haut

Un mythe tenace empêche la réalisation d’une véritable démocratie. Il s’agit de la croyance que l’on peut réformer par le haut. On attend alors la femme ou l’homme providentiel qui prendra en main les destinnées du pays et apportera les solutions. Cette illusion s’intensifie lors de chaque campagne présidentielle et culmine le jour du vote populaire.

Mais les surlendemains ont toujours un air de « gueule de bois ». Au fond de lui, le citoyen sait que toute réforme par le haut est mission impossible. Mais il s’adonne à ce mirage, faute d’une autre perspective.

Refondre la démocratie c’est se tourner vers le changement qui, en permanence, cherche à prendre corps sur le terrain, là où les citoyens vivent et agissent.

3. Le droit à l’expérimentation

La Démocratie Évolutive place donc en son centre le droit à l’expérimentation. Pour entreprendre des réformes, elle n’attend pas que se dessine une majorité au niveau national et que des représentants du peuple votent une loi. Un tel processus tue la prise d’initiative par le citoyen, se révèle trop lourd et trop lent.

En démocratie, une réforme et une innovation doivent pouvoir prendre corps là où elles apparaîssent comme projet.

Une telle approche suppose de revisiter les notions de gouvernement unitaire et de service public uniforme.

4. Évolution au lieu de révolution

Pour entrer en Démocratie Évolutive, il n’est pas nécessaire de faire table rase du passé par une révolution. Il ne s’agit pas d’attendre le grand soir. Le nouveau doit pouvoir se mettre en oeuvre et coexister avec l’ancien, la transformation se faisant progressivement et s’améliorant au vu des résultats de l’expérimentation.

5. Référendum et initiatives populaires

Pour que les citoyens soient en mesure d’innover, ils ont besoin d’un cadre légal qu’ils doivent pouvoir proposer eux-mêmes. Les citoyens doivent être en mesure d’intervenir directement dans les lois, sans passer par la représentation nationale. C’est ce que l’on appelle la démocratie directe laquelle utilise deux outils distincts : le référendum et l’intiative populaire. Ils sont le minimum vital de la démocratie. L’obtenir est la toute première étape vers l’évolutivité de notre société.

6. Démocratie Évolutive et Économie à Valeurs Humaines

Parallèlement une autre démarche est à entreprendre, celle de la transformation de l’économie. Il serait illusoire de penser que davantage de démocratie suffirait à régler les problèmes du monde et que, par exemple, nous pourrions atteindre un partage plus équitable des richesses à partir d’une autre forme de gouvernement ou par des taxes et des impôts.

7. Services Publics Citoyens

Une Démocratie Évolutive implique une toute nouvelle forme de service public. Pour la saisir, il convient, en premier lieu, de clarifier ce qu’est un service public, quels en sont les critères et comment les citoyens et les organisations doivent s’y conformer.

Dans chaque domaine on établit donc un cahier des charges qui définit les modalités, les règles et les obligations de contrôle auxquelles les institutions se soumettent si elles veulent avoir le label de service public. Ainsi, on sortira de l’opposition stérile entre les partisans du „moins d’État“ et les défenseurs du service public centralisé. )

est reste sur une vision classique du pouvoir, alors que si y élargissait sa conception du monde au exigence de notre temps, non seulement, il crée un véritable projet de société qui ne peut que redonné l’espoir et l’espérance que tous ensembles, nous pouvons nous relevez et lutter de pied ferme contre le fatalisme qui y a une seul façon de régler les problèmes de la Nation en simplement redonné du lustre à une unité National qui se base exclusivement sur le socle du CNR.

Il ne faudrait pas que UPR se constante que de resté simplement légaliste des institutions et de l’Esprit de la constitution de la 5nes Républiques, elle doit aussi être novatrice et répondre à l’attente profonde que l’on ne peut être dans un Pouvoir Paternel Autoritarisme, et qu’il y a à tenir compte que ces la sommes d’individualités citoyennes doivent représentent un véritable contre pouvoir temporisateur face à l’omniscience et l’omnipotence des pouvoirs du Monde Politique et du Monde Économique.

Ce n’est à ce prix que François Asselineau aura une véritable change de porté sa causse en élargissant le concept de la souveraineté à restaurer dans notre pays, en cela même si cela n’est pas parfait la Suisse à montré par sa durée que c’est une véritable Démocratie par le recourt aux initiatives populaires.

Et dans se cadre il est tous à fait possible d’avoir une véritable autonomie Régional.qui ne soit pas c’est autonomisme nationalisme qui portement en ferment la division et les conflits qui ont produit deux guerres Mondiales !

car il faut être clair l’UPR de François Asselineau doit nous évitez de rentré dans se conflit larvé qui est le prémisse d’une Troisième Guerre Mondiales, et c’est en cela que se se suis sympathisant de se mouvement avec tous les réserves que je lui adresse, que ce mouvement ne peut pas restauré l’Autoritarisme des Pouvoirs, il doit tenir compte que notre société doit vivre la responsabilité de la LIBERTÉ, et il y a pas mieux que le partage des responsabilités des Pouvoirs pour vivre la conscience de notre Liberté !

La Liberté à pour pendant l’Obligation du respect de nos choix privés

L’égalité à pour mission l’État

La Fraternité doit se réalisé dans l’Économie

et l’ensemble c’est nous tous dans une République Un est Indivisible.










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