Merci d’avoir consacré ces quelques lignes à ce merveilleux auteur inclassable.
Bien entendu, les Chroniques c’est fabuleux, mais j’aimerais rappeler aussi la poésie discrète et nostalgique de Dandelion Wine. L’évocation d’une petite ville américaine des années vingt (cette même petite ville que les Martiens recréent pour tendre une embuscade aux envahisseurs, si je me souviens), est des plus parfaites, des plus étranges.
Pour ceux qui connaissent, mention spéciale à l’histoire de l’amour impossible entre une très vieille dame et un jeune journaliste, ce dernier étant tombé amoureux de la dame après avoir vu une photo d’elle dans un journal, sans comprendre que la photo avait plus de soixante ans !