Mais personne n’est prisonnier, péripate.
Depardieu, après avoir bien profité des subventions, des services publics et notamment des systèmes de santé, peut s’en aller. Il a le droit. Et il a même le droit de revenir quand il en aura de nouveau besoin, ce qu’il ne se privera sans doute pas de faire. Si ça existe encore d’ici là, tout ça...
Et j’estime avoir le droit de le considérer comme un minable, un salaud et un ingrat.