Même si l’étude de Gourévitch est intéressante, cela n’empêche pas de rester humains et solidaires face à la souffrance des plus démunis quels qu’ils soient, n’en déplaise à certains.
Il y a des choses comme ça qui n’ont pas de frontière, qui sont universelles et inaliénables : la vie, la santé, l’eau, le droit à ne plus souffrir de la faim.