A choisir, je préfère la version animale, moins rigide et plus propice à enflammer l’imagination, et puis avec l’imperméable, on aurait pu éviter tant de pertes inutiles les jours de tempête, avec ces parapluies déchirés et ces baleines tordues de souffrance...
La baleine et l’humain n’ont pas grand chose en commun...quoi qu’ait pu en dire ce bon Hermann Melville...
La cape, à part pour frimer en fuyant un peu avant l’aube pour éviter l’insolation, ça fait un peu m’as-tu vu...
Dans le sous-embranchement « politiques » de l’humanité, on lui préfère la veste, plus adaptée à la pratique dite du « retournement »...
On parle alors de prendre un nouveau « cap »...
La cape a pour elle une certaine élégance, mais son efficacité quand il s’agit d’enfumer les gueux laisse à désirer...et quand on a abandonné tout honneur, on n’a que faire de l’élégance... Le parapluie n’a pas démontré des performances adaptées en ce domaine, sauvons les baleines...