On pourra toujours les accuser. Déjà, une majorité n’aura rien fait. Ensuite, on pourra faire remarquer aux autres qu’ils ont brassé du vent. Leurs actions ayant été inefficaces, il sera facile de leur expliquer a posteriori, doctement, pourquoi il ne pouvait en être qu’ainsi. Et on pourra leur reprocher de n’avoir pas mis en œuvre les actions dont on pensera à ce moment-là (en 2050 ou en 2070) qu’elles auraient été nécessaires en 2020.