Merci Aimé Fay pour cet effort de pédagogie.
Maintenant, pouvez-vous nous la refaire en tenant compte d’un monde fini, avec des ressources finies, etc... ?
Vous allez me répondre que la création de valeur ajoutée ne s’accompagne pas nécessairement de consommation d’énergie et de matières premières, que le facteur progrès permet une utilisation plus efficiente de cette énergie et de cette matière première...
Mais pensez par exemple à « l’effet rebond », qui dit que tout gain d’efficacité (énergétique) pour une unité de production s’accompagne toujours d’une augmentation en conséquence du nombre d’unités produites, et in fine d’une augmentation de la consommation d’énergie ou de matières premières.
Que pensez-vous des travaux de Nicholas Georgescu-Roegen ?
Merci de vous référer à cet article d’Agoravox, paru hier également, qui semble apporter une vision autrement plus réaliste et moins simpliste que la vôtre (sans toutefois vouloir vous offenser).