@François Vesin
« Et
si un seul n’est pas d’accord, il aura gagné ! »
Le référendum européen, tel que je le suggérais idéalement,
aurait donné une majorité à condition de réunir les voix de deux tiers des votants,
dans au moins vingt pays, le tiers et les pays restants devant s’incline
démocratiquement. Cette majorité serait accessible au NON –je rappelle la
question : Voulez-vous que l’U.E. continue de s’élargir avec
l’accueil de nouveaux membres et souhaitez-vous que ses pouvoirs s’étendent à
de nouvelles compétences, si nécessaire au détriment de la souveraineté des
nations ? -, et c’est la raison pour laquelle semblable référendum ne
sera pas organisé.
« Et
si les 28 sont d’accord, il se trouvera toujours un tandem type Sarkozy Hollande
pour faire faire aux « élus » le contraire de ce que les peuples
auront voulus ! »
Ici, nous parlons de référendums organisés dans chaque pays,
en cas de victoire du NON au niveau continental, afin de déterminer l’avenir
que son peuple souhaite pour son pays. Le président de la République française
ne serait, dans cette optique, rien de plus qu’un chef d’Etat parmi les 27.
« vous
arriveriez à nous faire croire que l’histoire n’a pas eût lieu !!! »
Je ne vois pas de quelle histoire vous parlez.