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sls0 sls0 9 février 2015 03:03

Le cul black et l’imaginaire local.
Je réside dans un pays où il n’y a que 15% de blancs donc pas trop ex-colonial.
Le cul black à un plus gros impact dans l’imaginaire comme dans la vie de tout les jour.
Si je passe cette musique dans une école primaire ou une discothèque, la chorégraphie c’est la vidéo, ça tortille du cul.
La plupart des chorégraphies c’est mettre ses fesses en évidence. 
La télé n’y échappe pas.
Dans la rue la mode est assez subjective.
Il y a des culs mignons mais il y en a d’autres la cellulite déborde, mais ils plaisent à la gente masculine locale c’est le principal.
Par contre s’embrasser dans la rue c’est tabou.
C’est comme cela, ici c’est ailleurs.

Juger ou donner son avis vu de France est ce vraiment constructif et intelligent ?

Du fait qu’un sage a un jour dit que celui qui a un avis sur tout ne peut être qu’un imbécile, j’évite de donner un avis sur la façon d’être locale et encore moins si je ne connais pas la culture.

Le colonialisme a eu un bon coté, il nous a permis de piquer 90% de la richesse ce qui nous les moyens et nous permet de croire que l’on peut donner des leçons ou croire que l’on est un modèle.

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