Apparemment Mme Reding n’a jamais dit « trop ignorants ».
Asselino a donc fait du journalisme de bas étage en utilisant volontairement une interprétation blessante, histoire de stimuler les aboiements.
Quand on en est à manipuler les mots c’est qu’on n’a pas grand chose offrir.
Pitoyable, mais les gogos d’avox accourent et plussent des deux pieds.