Très bon retour sur les mécanismes en place dans les premières semaines d’Avril, semaines noires pour le Front deGauche après un 18-Mars historique.
Je nuancerai en disant que la masse des électeurs ne lit pas les journaux que vous citez, Amandine.
D’autre part, je pense qu’on "...peut conclure qu’une partie de l’électorat potentiel du Front de
gauche n’a finalement pas acté son vote comme il l’avait décidé une ou
deux semaines auparavant...", car le déchaînement télévisuel et radiophonique pour diaboliser Jean-Luc Mélenchon, insulté comme jamais aucun politique ne l’a jamais été au cours d’une carrière (y compris J.M Le Pen lui-même) a eu pour effet évident d’effrayer l’électeur.