• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

ninou

ninou

être parfait, absolu, imprévu,

Tableau de bord

  • Premier article le 22/11/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 1 303 49
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de visites




Derniers commentaires



  • ninou ninou 8 février 2008 13:31

    D’accord avec Grangeoisi.

    Pour écrire une constitution, il me semble de "bon ton" d’élire une assemblée constituante (sachant que ne peuvent faire partie de cette AC aucun représentant des différents pouvoirs en place - politiques, financiers...- et que cette AC, une fois la constitution écrite, est dissoute, tout ceci afin d’éviter les prises d’intérêts éventuelles).

    Cela aurait au moins le mérite d’aboutir à un texte enfin lisible par tous (il est vrai que ce n’est pas forcément l’intérêt de nos chers puissants !!)



  • ninou ninou 2 février 2008 14:39

    C’est bien de donner des leçons... J’ai relevé 5 fautes dans votre copie !!



  • ninou ninou 2 février 2008 12:00

    Un point positif de l’article me semble être l’utilisation de l’outil informatique pour permettre une individualisation plus grande du travail des élèves. Mais c’est déjà plus ou moins ce que fait tout logiciel pédagogique un peu efficace. Il suffirait de rendre cette utilisation plus systématique et, surtout, de créer des logiciels nationaux intégrant le fameux socle commun.

    Quant à l’équipement de tous les élèves... cela laisse rêveur. Mais nous parlons d’un idéal.

    Cela étant dit, ce mode d’évaluation et/ou d’apprentissage ne peut concerner que des connaissances quantifiables ( les seules que l’on pourrait évaluer selon l’auteur de l’article- j’y reviendrai plus loin). Or, ce type de connaissances ne permet pas de savoir si l’élève a compris ou non. Bref, s’il fait preuve d’intelligence. Ce type de connaissances peut faire de nos enfants des champions de jeux télévisés. Je ne pense pas que cela soit le but de l’éducation.

    Des élèves dont le travail scolaire consiste à apprendre "par coeur" une leçon d’une semaine pour l’autre et à la recracher pour pouvoir passer à une autre (on imagine aussi en parallèle ce que peut devenir un enseignant dans ces conditions : un coach) voilà ce que nous propose cet article. Quid de l’esprit critique ? De la culture ? Du développement de l’esprit scientifique ? Des capacités à s’exprimer à l’oral ? De celles à se faire comprendre à l’écrit ? De la transposition des savoirs ? Tout cela serait dévolu à des "ateliers" forcément dilletantes puisque non notés !

    Prendre le monde du numérique et son fonctionnement binaire comme modèle de l’intelligence humaine me semble dangereux : Tout énoncé serait soit vrai, soit faux ? Et cela s’appellerait de la "rigueur" ?

    La principale erreur de l’article est de croire que ce qui n’est pas évaluable par une note (c’est vrai ou c’est faux) n’est pas évaluable du tout. Le problème vient justement de la culture de la note. Si l’on veut savoir si un élève sait utiliser l’imparfait (ce qui est un savoir-faire plus important que de savoir conjuguer bêtement vu qu’il existe des aides de type "bescherelles" pour pallier aux oublis que chacun peut avoir) il suffit de le mettre en situation de le faire (textes orientés) et de vérifier si, dans ce texte qui le nécessitait, l’élève a réussi à utiliser l’imparfait, a simplement essayé d’utiliser l’imparfait ou n’a pas même pas essayé d’utiliser l’imparfait. L’évaluation est faite et elle ne peut pas se noter. Ce savoir-faire précis est soit acquis, soit en cours d’acquisition, soit non acquis.

    Nous sommes d’accord, ce que les parents veulent pouvoir dire c’est : mon fils est nul en conjugaison vu qu’il a 5 sur 20 alors qu’il est bon en maths vu qu’il a 17 sur 20. Et les élèves eux-mêmes (surtout les bons) réclament des notes. D’ailleurs nombre d’entre eux ne travaillent que pour cette "médaille". Mais cette méthode comptable est injuste et approximative précisément parce qu’elle ne peut pas rendre compte de ce qui n’est pas toujours quantifiable par une note et qui est pourtant, souvent, l’essentiel. Bref, si la notation pose problème, il y a une solution simple : arrêter de noter. Des appréciations, cela suffit, et c’est bien plus éclairant qu’une note. (évidemment, la lecture et l’élaboration des "bulletins" est plus longue mais il faut savoir ce que l’on recherche...).

    Dernière chose : croire que savoir que l’on a progressé dans un domaine, que l’on a enfin compris ce que l’on ne comprenait pas n’est pas une motivation pour un élève, prouve une parfaite méconnaissance de la psychologie. Ce qui démotive, c’est de voir que malgré les progrès que l’on a faits, on est toujours le nul en maths (notation à l’appui)

     

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv