Il y aura de plus en plus de robots et donc de moins en moins de salariés.
Le problème est que les robots ne sont a acheteurs. Quand il n’y aura plus de salariés pour fabriquer des biens , gagner un salaire pour et les acheter, les robots deviendrons inutiles seront mis au rebut.
Et leur propriétaires réduits à mendier, sauf s’ils sont capables de travailler à autre chose que donner des ordres. Mais comment construire tout seul sans l’aide de personne un immeuble ? un avion ? un lave vaisselle ?
Alors s’ouvrira peut-être une ère nouvelle où seuls les robots travailleront , et le fruit de leur travail sera partagé à égalité entre tous les humains, comme le sont actuellement partagés entre tous les animaux les fruits de la terre
Merci pour votre réponse, qui appelle la réflexion suivante : connaissez vous un seul salarié qui a la possibilité de faire modifier un seul article de son contrat de travail lors de son embauche ?
Son seul choix est de l’accepter ou de se démettre.
Sa seule possibilité connue de faire modifier certaines dispositions (qu’il juge léonines) à son avantage, c’est d’être embauché aux condition de l’employeur, puis c’est de se joindre à l’ensemble des autres salariés de son entreprise pour interrompre le travail. La grève.
Comme il a absolument besoin de la richesse produite par le travail de ses salariés, richesse qu’il ne peut produire tout seul, l’employeur fini (pas toujours) par accepter de céder sur certains points et modifier certaines dispositions du contrat objet de l’enseignement de votre master de droit.
Votre réflexion est intéressante dans le sens où on peut débattre pour savoir qui a créé la richesse en question, et si cette richesse a été donnée volontairement ou pas.
Si on prend l’exemple de Mr Bouygues (ou un autre), est ce lui qui crée la richesse, ou bien tous les salariés de tout niveau qui travaillent pour lui qui la lui donnent. ? La donnent-ils volontairement ?
Qui en héritera ? les dit salariés ?
Si non, ceux qui en hériteront pourront-il dire qu’on la leur a donné volontairement ?
Si on considère que tout doit lui revenir, peut-on aussi penser qu’un partage équitable avec ceux qui produisent cette richesse peut être logique ? ou pas ?
Les avis vont sûrement diverger selon que l’on est du coté du manche ou pas .