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Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF)  ? Qui sommes nous  ? Que voulons nous  ?

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le PRCF c'est le Pôle rassemblement les militants communistes, pour reconstruire un vrai parti communiste en France. Présents dans quasiment tous les départements de France, les militants du PRCF sont les premiers à avoir appelé à la sortie de l'UE, de l'Euro, de l'OTAN pour faire place aux travailleurs. Pour défendre la démocratie, la paix, le progrès social et la solidarité internationaliste.
Le PRCF édite un journal Initiative Communiste dont le site internet www.initiative-communiste.fr compte parmi les plus influent du web en France. Actus, Analyse, Actions, pour une info triple A, restez connectez sur www.initiative-communiste.fr , inscrivez vous gratuitement à la lettre électronique @IC Hebdo et soutenez une information indépendante, libre et engagée en vous abonnant à IC (24 € pour un an)

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  • Premier article le 23/01/2013
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Derniers commentaires



  • PRCF PRCF 4 novembre 2014 18:10

    Avant de faire des remarques encore faut il savoir compter. Le reste de vos commentaires sont à l’avenant /

    Si on considère 800 électeurs par bureau, 12h d’ouverture des bureaux et une participation de 50%  :
    800 * 0.5 / (12 h * 60 ) = 0.5 électeurs par minutes.... loin de donner lieu à une queue.

    si on divise par 4, et bien cela ne fait guère que 2 électeurs par minutes  : vous mettez plus de 30s à lire votre nom et signé ?

    Ils ont eu beau prolonger les horaires d’ouverture des bureaux de votes pour les dernières européennes, force est de constater qu’une majorité de nos concitoyens les ont boycottées.

    Quant au Donbass, de façon honnêtes, ils n’ont pas annoncé les résultats en pourcentage d’exprimés comme dans nos chères démocraties, mais en nombre de voix. Ce qui a le mérite d’être clair et transparents.

    le fait est que les photos de ces milions d’ukrainiens du Donbass faisant la queue au mépris des bombardements de vos amis pro UE de Kiev qui ont voulu le déchirement de l’Ukraine, cela vous dérange profondément.

    Et vous fait perdre toute votre lucidité.



  • PRCF PRCF 4 novembre 2014 16:52

    Euh, on peut réduire par 4 le nombre de bureau de vote en France, il y aura toujours personne dedans aux européennes.

    la dernière fois que j’ai fait la queue, c’était pour dire NON à l’UE en 2005.

    Faire la queue, dans le froid et sous la menace des bombardements des fascistes pro UE de Kiev, oui cela a une signification politique.

    1 million et demi de citoyens du Donbass se sont déplacer pour poser un acte élémentaire de liberté et de démocratie malgré la guerre que même l’UE, l’OTAN contre le peuple ukrainien pour pouvoir piller ses richesses, exploiter ses travailleurs.

    C’est fou le monde que vous connaissez, Eric.... Moi je ne demande pas de me croire, je présente des faits.
    les internautes, informés, jugeront.

    Et encore une fois la réalité est frappante :

    A kiev l’UE a mis en place ses oligarques. A donetsk et Lougansk, deux travailleurs ont été élus



  • PRCF PRCF 23 octobre 2014 17:05

    pourquoi le FN n’a pas dans son programme la sortie inconditionnel de l’UE ?

    Pourquoi ne nous donnez vous pas les citations de Le Pen défendant la construction européenne pour combattre l’URSS ?

    Toujours aussi actif dans le combat culturel, François Ruffin nous propose cette fois une analyse sur l’évolution du programme économique du Front national. Le rédacteur en chef de Fakir part d’un constat simple : aujourd’hui, le discours économique et social du parti d’extrême droite lui paraît de plus en plus proche du sien. En effet, après avoir été un parti ultra-libéral et atlantiste prônant une « révolution fiscale » – entendez par-là, une baisse drastique des impôts – et critiquant les « perversions étatiques » le FN s’est progressivement mué en un parti s’opposant au « capitalisme mondialisé », à la « mondialisation sauvage » ou encore au « règne de la finance ». Ce changement de bord s’accompagne d’un ralliement de plus en plus massif des ouvriers qui était 17,9% à voter pour Marine Le Pen lors de l’élection présidentielle de 2012 (33% pour les seuls inscrits). Le but de « Pauvres actionnaires ! » est de comprendre comment et pourquoi cette mutation s’est opérée.

    La tâche s’annonce plutôt compliquée pour l’auteur. En effet, il commence par chercher dans la documentation déjà existante, ce qui se révèle être un échec : de la littérature orthodoxe (type Caroline Fourest) à celle plus à gauche (comme les analyses syndicales de la CGT, Sud, …), rien de transcendant. Toutes les analyses consistent à dénoncer l’irréalisme présumé du protectionnisme ou de la sortie de l’euro. Pourtant, un travail approfondi semble être une nécessité, surtout pour Ruffin qui est partisan d’un cordon sanitaire avec le parti mariniste, mais partage avec celui-ci certaines critiques (mondialisation, euro). C’est ainsi qu’il décide plutôt de se plonger dans 40 ans de programmes et de discours du FN.

    Ruffin dégage sept thèmes où le parti lepenniste a changé de cap : l’étatisme économique, les services publics, la question européenne, le mondialisme, les impôts, les entreprises et la précarité. A sa formation, le FN est avant tout un parti anticommuniste. L’immigration n’est d’ailleurs pas une obsession au départ. Ni chez Jean-Marie Le Pen, qui en 1958, en pleine campagne pour la défense de l’Algérie française, expliquait que les musulmans pouvaient être des citoyens français comme les autres. Ni chez les autres leaders du Front, le parti attend 1984 avant de voir en l’immigration la cause de l’explosion naissante du chômage. Dans ces conditions, l’étatisme français est vu comme une « subversion marxiste ». Jean-Marie Le Pen déclare même lors des législatives 1981 : « Le socialisme c’est au départ l’Etat providence, puis l’Etat patron, pour finir par l’Etat kapo ». Pour le leader FN, qui se voit en « Reagan français », il faut désengager au maximum l’Etat et libérer les entreprises nationalisées. L’Europe est alors un rempart au communisme : même si le parti d’extrême droite n’est pas franchement convaincu, il se rallie à la construction européenne contre l’ « impérialisme soviétique ». Sur la mondialisation, c’est par contre plus subtile. En 1977, le champion du patriotisme économique est le Parti communiste français et son leader de l’époque, Georges Marchais. Ce n’est qu’en 1988 que le FN s’empare du thème, dénonçant sur un tract dans la même phrase « importation sauvage » et « immigration du tiers-monde ». Voilà comment le Front mue en parti libéral, mais non libre-échangiste. Ruffin souligne pertinemment que les « importations sauvages » deviennent le pendant économique de « l’immigration clandestine », dans une vision proche du choc des civilisations entre Nord et Sud. Dans le même temps, on ne peut pas dire que le FN des années 1980 soit très familier avec l’impôt, son leader ne voulait pas moins que le détruire en défendant une « révolution fiscale ». Marine Le Pen a d’ailleurs été sur cette ligne jusqu’en 2004 où la baisse « charges » était sa deuxième préoccupation, après l’immigration, lors des européennes. De leur côté, les entreprises ont longtemps été vues comme des victimes de l’Etat. Au point que l’ancien député FN François Porteu de la Morandière, le 29 avril 1986, parle de « pauvres actionnaires » pour dénoncer un projet de loi visant à instaurer une participation des salariés aux conseils d’administrations des grandes entreprises. Pour finir, combattre la précarité n’est que depuis peu une préoccupation du parti d’extrême droite, Jean-Marie Le Pen dénonçait même au printemps 2006 les manifestations anti-CPE.



  • PRCF PRCF 23 octobre 2014 15:27

    Euh le PRCF défend l’ensemble de la classe des travailleurs, et les artisans et petit patrons - qui généralement ne sont que les salariés déguisés des grands donneurs d’ordres - font bien souvent partie de la classe des travailleurs.
    Vous devriez lire ce qu’écrit le PRCF sur son site, au hasard avec une petite recherche google

    "Pour autant, il faut constater une évidence que nos affreux médias militarisés par le capital déforment ou taisent : non les pharmaciens libéraux, les médecins libéraux, les architectes libéraux (dans leur majorité, ne parlons pas des trusts internationaux) ne sont pas des « rentiers ». Assenons même une étrange vérité : ILS TRAVAILLENT, ils font des choses UTILES, comme les artisans, petits paysans, petits détaillants qui non seulement rendent service à la population, mais animent nos villes et nos quartiers, ou qui font vivre le paysage français qui, sans eux, serait une friche pleine de ronces.« 
    http://www.initiative-communiste.fr/billet-rouge-2/21940/

     »Inspirons-nous des objectifs et méthodes des grévistes de l’Air pour les luttes à venir, notamment dans le secteur des transports où marins, dockers, travailleurs de l’aéroportuaire et du ferroviaire, sans parler des salariés et des petits patrons routiers, sont soumis à la même entreprise de déréglementation et de paupérisation : à quand, dans la France actuelle, où la classe ouvrière des transports constitue un des principaux secteurs du salariat productif, le « tous ensemble » des salariés de l’Air, de la Mer, de la Route et du Rail pour stopper l’offensive antisociale en bloquant les profits des vampires qui dominent l’UE du capital ?« 

     »D’ailleurs, qui peut citer une réforme progressiste qui soit venue du niveau européen ? Ouvriers, paysans, étudiants, cheminots, enseignants, postiers, électriciens, travailleurs des DOM, petits patrons de la ville et de la campagne, nous vivons tous au quotidien les beautés de la « construction européenne » : délocalisations, licenciements, recul des salaires, précarité, « euro fort » plombant les exportations, casse de l’école et de l’hôpital, privatisation de la poste et de l’Université, de l’EDF, l’Aviation, l’Automobile ,de la Banque, nationalisés à la Libération, baisse des retraites et des remboursements sécu, massacre de l’exploitation familiale agricole , de la pêche , du commerce de proximité …"

    http://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/victoire-en-vue-les-grevistes-dair-france/
    http://www.initiative-communiste.fr/archive/des-racines-de-classe-de-lautophobie-nationale-francaise/
    http://www.initiative-communiste.fr/articles/culture-debats/hollande-son-gouvernement-psverts-commis-du-patronat/

    etc....



  • PRCF PRCF 15 octobre 2014 15:22

    @ marquis de Constantdanslaireur :

    quelques précisions

    1) l’état exploite dejà des milliers de km d’autoroutes, souvent les plus compliqués (et donc les moins rentables et difficilement privatisables) (par exemples les autoroutes de régions parisiennes, où il y a des dizaines de kilomètres de tunnels). Si la france est leader mondial dans le domaine de la route, c’est parceque pendant des decennies, le service public de l’équipement a développé nos infrastructure...

    2) le personnel était état avant... maintenant les sociétés privés ont licenciés à tour de bras

    3) le seul accident grave dans un tunnel.... ben justement c’est dans un tunnel exploité par le privé (tunnel du Mont Blanc) et pas dans un tunnel directement exploité par les services de l’état.

    4) à l’origine l’état a du renationaliser une première fois les société d’autoroutes, en raison de leur défaillance...

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