@tashrin
Le problème pour pour les « diffuseurs » de cette idée que la « variole du singe » est « dangereuse » sera de « montrer » une certaine « létalité ». Il faut comprendre que cette « variole du singe » est « identifiée » grâce à un test PCR. C’est très pratique parce que les « symptômes » visibles de cette maladie peuvent correspondre à bien d’autres maladies.
La question à se poser est bien celle de savoir si, en Europe, nous allons être soumis à des tests PCR pour savoir si nous sommes « malades », sans même le savoir, de la « variole du singe » ? C’est bien ce que l’on nous a fait avec le covid19, avec le « nombre de cas », c’est à dire des gens malades sans le savoir (qualifiés d’asymptomatiques !). Docteur Knock au secours !
En l’absence de mortalité d’infections respiratoires, il sera très difficile de faire croire à cette idée de « variole du singe ». Cette supercherie pourra tenir qu’à partir du moment où, à compter de l’automne, la pollution atmosphérique viendra porter, comme d’habitude, une recrudescence de maladies respiratoires avec une augmentation de la mortalité. A ce moment là, il nous faudra être très vigilants sur les conditions atmosphériques et consulter des sites comme « airparif », « airbreizh » et autres associations régionales surveillant en France la pollution et aussi une association nationale, comme RESPIRE, qui fait un travail considérable pour faire connaitre à la population les méfaits sur la santé de la pollution mais qui, visiblement, est peu « visibilisée ».
https://respire-asso.org/