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Commentaire de Spartacus Lequidam

sur OMS = Organisation Mafieuse Supranationale


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Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 3 juin 2023 16:44

Pour passer de 1 million d’euros à 5€ la dose, il faut multiplier le volume de vente par plusieurs centaine de millions.

Les systèmes de santé dans le monde sont principalement collectivistes, c’est a dire en monopole dans chaque pays et géré par des apparentés fonctionnaires qui ne connaissent pas le risque.

Les monopoles des sécurités sociales sont la clé d’un développement des médicaments. Un medicament qui n’a pas eu le « sésame » d’un reférencement remboursé par la sécu, ne génére pas de volume et son avenir est la fin de fabrication.

Le « réferenceur de chaque sécu ne prend »aucun risque« , c’est un apparenté medecin fonctionnaire, il va justifier ses choix par des références et des appropabations les plus hautes ? Sin avancement en dépens.

Et ou va t-il chercher les référénces des medicament a diffuser comme »remboursés par la sécu ? Réponses : Aux publications de l’OMS.

Maintenant mettez vous a la place d’un labo qui doit produire et ecouler ses produits qui s’ils veulent être écoulés, les prix réduits, approuvé par l’OMS.

L’OMS est donc infiltré par des labos qui n’ont pas d’autres choix que de payer des medecins, des influents à l’OMS pour pouvoir vendre. C’est une question de perennité et de vie ou de mort pour un labo.

C’est le système de référencement des medicaments qui est un problème.

Si les USA ont 4 des 5 plus grandes multinationales, c’est que leur sytème est différent.

Plusieurs mutuelles, c’est une diversité de référencements.

Pour faire baisser le poids des lobbys pharmaceutiques sur les décisions, il faut diviser les décisions, c’est a dire passer d’un système collectiviste a réellement mutualiste et organiser une concurence des sécurités sociales. 

Les « référenceurs » placeront le choix du medicament a référncer sur la satisfaction du patient, plus que sur le choix d’être un "bon fonctionnaire qui suit sans réfléchir les directives de l’OMS..


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