Bonjour @Pauline

Je te réponds ici. C’est pas que je te piste, c’est que je te trouve dans les « deniers commentaires » en ouvrant Avox.

Je venais te rappeler ton sentiment à l’égard du langage, dans un échange pas si ancien. Détail, nous nous vouvoyions à ce moment-là. Peut-être envie, de ta part, de quitter l’éternel tutoiement de la langue anglaise ?

Il y a des années, nouvel inscrit mais déjà habitué du site, j’avais conseillé à @alinea de placer une copie de ses productions ici et des réactions sur un site. Ce n’était pas par esprit d’archiviste, mais par perfectionnisme : il est utile de placer des repères sur notre trajectoire. Elle n’a pas trouvé d’intérêt à cette idée ; elle fonctionne si différemment ...

Perso, j’ai eu cette pratique un temps, et si le goût d’écrire me revient, je recommencerai sans doute. Mon tout dernier texte était adressé à @Montagnais. Je lui disais l’importance de se savoir lu, ne serait-ce que par une personne. Le meilleur retour du lecteur, c’est évidemment un petit signe. D’autres attachent de l’importance aux statistiques de visite que fournit l’hébergeur. Il était possible d’être hébergé gratuitement chez Free ; un voisin y tient depuis des années (décennies ?) un site consistant.

Depuis l’épisode relaté dans « Le Fakir » (dévoiement des sites par les lobbyies) les interrogations sur ce qui se passe réellement sur les sites style Avox ont été relancées. Il est difficile de concevoir la puissance des logiciels big-dateux (et c’est un fana de l’informatique des premières heures qui l’écrit). Donc, toute parano est autorisée, et la réalité difficile à rattraper.

Il était sans doute (question technique) possible de concevoir des réseaux de communication dans lesquels les échanges ne seraient pas traçables « d’en haut », ni même qui parle à qui. Ce doit être partiellement réalisable (c’est la question que je voulais poser à @Attilax) en créant un serveur de site qui anonymiserait en interne les échanges. Encore faudrait-il être sûr des administrateurs. Ça gênerait un peu les ingénieurs sociaux et leurs commanditaires.

Je viens de lire un bouquin de Schoendorfer où les Hmongs occupaient la place centrale. Comptes-tu leur rendre visite en Guyane ?