• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de christophe nicolas

sur Battre en retraite !


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

christophe nicolas christophe nicolas 19 janvier 2023 21:53

Et moi devant votre sens de conteur mais ce n’est pas la réponse que j’attendais, la voici :

Si on l’a un peu oublié, Marcel Deprez demeure une de nos gloires nationales : il est le premier, avant Edison, a avoir trouvé comment transporter et distribuer du courant électrique sur une dizaine de kilomètres, ouvrant dès 1884 la voie à la société moderne. Auréolé de ce succès, nommé à l’Académie des sciences et titulaire d’une chaire créée pour lui au CNAM, il incarnera la stratégie française en matière de distribution électrique. Pour Deprez et ses amis, l’avenir est sans aucun doute au courant continu. Si ses lignes électriques sont assez capricieuses, son réseau... de relations fonctionne parfaitement. Il étouffe les quelques voix qui mettent timidement en doute le succès de l’inventeur, et veille à ce qu’un autre savant, Lucien Gaulard, ne puisse se faire entendre. Avec le recul de l’histoire, il apparaît clairement que la France s’est trompée de gloire nationale : Gaulard est le père de la technologie du courant alternatif, celle qui permettra effectivement à l’électricité de bouleverser la société. Mais il y a mieux, ou pire : Deprez n’a rien inventé du tout.

En étudiant ses expériences, Girolamo Ramunni, physicien de formation, a pu s’assurer que son installation aurait fatalement dû griller. Il y a bien eu fraude, comme quelques observateurs le murmuraient à l’époque.

https://www.annales.org/archives/x/deprez.html


Lucien Gaulard connut le sort de Paul Pantone mais on peut apprécier son inspiration avec le recul puisque ses inventions triomphèrent de celles de Marcel Deprez, l’ingénieur des mines

Entre-temps, des brevets ont été déposés par d’autres3. Le premier brevet de Gaulard en 1882 a été refusé en son temps, « sous prétexte que l’inventeur prétendait pouvoir faire « quelque chose de rien » ». Gaulard contre-attaqua, mais il perdit ses procès. Ruiné, il finit ses jours dans un asile.

Lucien Gaulard meurt le 26 novembre 1888 à l’hôpital Sainte-Anne où il était entré quelques mois plus tôt à la suite d’un accès de démence. En effet, le 1er février de la même année, Gaulard s’était présenté à l’Élysée en disant au concierge « Je suis Dieu et je veux la paix Universelle » comme le rapporte le Matin dans son édition du 14 février. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lucien_Gaulard


Fou me direz vous ? Le problème est que nous n’étions pas présents pour apprécier mais il est mort en 1888 et 8 est le chiffre du Christ trois fois donc assurément un homme inspiré.

Que de nombres sacrés en Israël ! Chacun fut ensuite transféré à la nouvelle Église avec son symbolisme : le trois, le sept, le douze, le soixante-douze. Et la vérité resplendira dans les temps futurs sur les nombres encore obscurs que contient l’Apocalypse, nombres qui tendent à indiquer d’un côté la perfection et la sainteté infinies, de l’autre l’impiété elle aussi sans mesure. 

Jehoshua = Perfection, sainteté, salut est un mot à huit lettres. Satana[1] = Impiété, ennemi du genre humain, perfection du mal, est un mot à six lettres. 

Or puisque le premier est le nom du Bien parfait et le second celui du Mal parfait, c’est-à-dire sans mesure, chacun d’eux multiplie par trois (chiffre de la perfection) le nombre de ses lettres, le premier devenant ainsi huit cent quatre-vingt-huit et le second six cent soixante-six. Malheur, quatre fois malheur à ces jours où le Bien infini et le Mal infini se livreront l’ultime combat avant la victoire définitive du Bien et des bons, et la défaite définitive du Mal et de ses serviteurs ! 

http://www.maria-valtorta.org/Quaderni/ApocalypseF.htm






Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès