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Commentaire de velosolex

sur La Pologne frappée par un missile russe ? Chauprade dénonce un « false flag », Biden calme le jeu


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velosolex velosolex 17 novembre 2022 23:02

@Eric F
« mais c’est plus grave, il nous met en danger ! »
Nous serions autrement en danger si l’Ukraine n’avait pas stoppé le blietzkrieg Russe. A la vue de l’état de nos troupes, et de notre matériel, nous aurions eu bien du souci à nous faire. Les Polonais et les Baltes, qui connaissent trop bien la Russie pour avoir été occupés, et pire, pendant 50, savent bien ce qu’ils doivent à Zelensky, et aux Ukrainiens dans leur ensemble.
La Pologne surtout a eu droit au même traitement en 39 quand les soviétiques l’ont attaqué. Le massacre de Kathyn est encore dans toutes les têtes.. 
Recevoir 100 missiles dans la journée, indiscutablement Russes, autorise à être un brin énervé. Pour autant le mot « dérapage », à l’heure du massacre d’un pays, pour parler de la déclaration de Zelensky, me parait hors de propos. C’est bien la Russie qui est directement responsable de cet évenement. On remarquera d’ailleurs que tous les protagonistes aujourd’hui, n’ont pas renchéri sur cet événement secondaire. 
Quand aux négociations que vous évoquez, elles sont simplement impossibles par rapport aux prétentions Russes, qui n’envisage pas même d’abandonner Kharson. Il faut savoir que l’est de l’Ukraine est vital en terme de richesse pour l’Ukraine. C’est un peu leur Alsace et Lorraine, additionné de nos ports vitaux de l’atlantique. En vérité Poutine joue sa peau, et se moque des conséquences de son intransigeante en terme humain autant pour les Ukrianiens que pour son propre peuple. Le cynisme de ce type mafieux, est total. Les infos les plus folles circulent. Personnellement je suis le « live » du Monde, bien documenté et commenté par des spécialistes autres que ceux de l’agora, dont on sait, à part si on veut se mettre la tête sous les draps, qu’ils viennent de fermes à trolls, dont la Russie fait un véritable élevage. 

Recrutés directement par Evgueni Prigojine, patron des mercenaires du Groupe Wagner, les détenus sont placés en première ligne des combats. Très peu en réchappent.

Les pertes sont effroyables. « Quatre-vingt-dix-neuf pour cent périssent », assure au « Monde » Olga Romanova, fondatrice de Rus Sidiachaïa (« la Russie à l’ombre »), une ONG défendant les droits des prisonniers depuis 2008. « Sur la première fournée de détenus envoyés au front en juin, soit 500 prisonniers, seuls deux sont encore en vie », poursuit la militante, qui vit à Berlin depuis 2017 pour échapper à des poursuites judiciaires à caractère politique.


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