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Commentaire de Opposition contrôlée

sur Le livre noir de Vladimir Poutine


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Opposition contrôlée Opposition contrôlée 12 novembre 2022 14:43

Stéphane Courtois, c’est mal barré.

L’historien Jean-Jacques Becker estime que les recherches de Stéphane Courtois procèdent d’une recherche du sensationnel : « c’est un « combattant » qui veut faire de l’histoire « efficace », c’est-à-dire exactement le contraire de l’Histoire ».

Courtois est un charlatant qui vend du papier en prêchant des convaincus. Il a fait sa carrière avec l’anti-communisme. Signe qui ne trompe pas, il s’est fait dézinguer par la critique américaine. On peut reprocher beaucoup de choses à ces derniers, mais il ont au moins une qualité, lorsqu’il s’agit de travaux universitaires, ils n’admettent pas les charlots, tout simplement parce qu’ils basent leur politique d’action sur ces travaux.

Le principe de ces historiens-militants est toujours le même : ils ne se disent pas « je vais étudier tel sujet », ils se disent « comment je vais pouvoir dire du mal de telle chose ». La méthode : des axiomes de départ biaisés, bourrés de préjugés, un récit des événements tronqué (technique du « cherry-picking »), citations hors contexte, etc...

Le genre des « livres noirs », quelque soit le sujet, est à proscrire de manière générale. C’est un genre pour les « paresseux intellectuels » qui cherchent à renforcer leur conditionnement idéologique, se maintenir dans un « monde simple » à la portée de leur esprit.


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