@rosemar

Votre choix de sources est très révélateur.. On comprend pourquoi quand on réfléchit à l’incomparable neutralité des personnes qui écrivent (sur ordres venus d’en haut...)
Examinons un peu :
—Les échos
https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Les_%C3%89chos-Le_Parisien
—L’express
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Express

Le premier est la voix du milliardaire Bernard Arnault qui que je ne connais pas comme un russophile acharné . Les échos appartient au groupe LVMH-Moët Hennessy Louis Vuitton dont il est le directeur .

Extrait de la fiche wiki :
« En s’associant avec le brasseur Guinness, Bernard Arnault créé une nouvelle société avec l’aval d’Henry Racamier6, coquille vide destinée à racheter des actions LVMH : c’est chose faite en quelques mois, où après le krach d’octobre 1987, la nouvelle entreprise possède plus de 40 % des actions du groupe de luxe, achetées pour un prix modique8. Il ne reste plus à Bernard Arnault qu’à se séparer de Guinness puis des deux fondateurs Chevalier et Racamier6 : après maintes péripéties juridiques, Bernard Arnault devient officiellement patron de LVMH en avril 19908. »

Le second
" L’Express est un magazine d’actualité hebdomadaire français, créé en 1953 par Jean-Jacques Servan-Schreiber et Françoise Giroud.

Le magazine met en avant le néolibéralisme sur le plan économique2, et est orienté politiquement à droite3,4. Il fait partie du Groupe L’Express, qui appartient à Alain Weill depuis 2019, après avoir été intégré à SFR Presse de 2016 à 2019, groupe créé et détenu par le milliardaire franco-israélien Patrick Drahi."

Les articles suggèrent mais ne prouvent jamais en fait . L’affirmation que le CIO a dit que vaut ce qu’elle vaut : peanuts...

Calomniez,calomniez, il en restera toujours quelque chose...

Ancien amateur de foot pro, j’ai cessé de suivre les matchs diffusés après avoir pu juger de la moralité du sport international en observant en direct l’attaque de kung fu du gardien allemand Schumacher sur le défenseur français Battiston, coup de pied à la tête, resté dans les mémoires comme un exemple flagrant de corruption arbitrale. Du coup, les allégations des dirigeants olympiques ne provoquent chez moi qu’un vague mépris.
A l’inverse, un site obscur détaille précisément les 25 noms de vedettes ultra connues du sport de haut niveau convaincues de dopage, là, on peut vérifier.

Sans parti pris ni mauvaise foi, on reconnaitra que le dopage est un mal mondialement répandu, lié aux promesses de réussite financière suivant les succès sportifs.
En bon propagandiste, on prétendra plutôt qu’un pays cible est le plus dopé au monde.