On comprend de mieux en mieux, le conte des mille et une nuits que ces pignoufs, nous ânonnent depuis près de deux ans.

Il faut que les yeux se ferment, que les consciences s’endorment, que la réflexion et l’intelligence deviennent un lointain souvenir, une forme de dessEIN pariétal, qui ne peut franchir le papier « filtrant » de nos masques.

Appauvrir en oxygène, ralentit le cerveau, et si cela n’est pas suffisant, il y a l’injection dynamique, au dopage anesthésiant, qui vous garantit une mort décalée mais, en groupe CONfraternel !

Une fois, rendus à l’état de rampants, écrasés par le poids de l’ignominie patentée, il est dur de se relever, pour faire un point sur la direction salvatrice à emprunter.

Surtout que cette urne, véritable Arche D’alliance, du sauvetage national, semble être portée par des servants, qui semblent tous avoir la même clé, pour l’ouvrir, et y piocher ce qui leur semble être bon, uniquement....à asservir à leurs idées à revendre, aux autres porteurs .

Nous assistons, à des jeux de rôles, tel le Bel zé buthé, semblant descendre de son mont pourri, et qui à gravé ses textes de oisif, à coups de verges et à la peinture en poudre blanche.

Les autres, qui avancent comme des paravents, sans porter une ombre décisive, à l’illuminé de service, qui copule allégrement avec des intérêts qui lui rapporte la manne, si ce n’est de la maille à gros trou.

Et en bas, tout en bas, abandonnés, rampants en tournant en rond, la grande foule aplatie, dont les peurs rongent la peau, et dont les yeux des plus clairvoyants, sont bâillonnés, si ce n’est arrachés, par justification d’égalisation des droits de regard.

Retournez voir, souvenez vous, rappelez vous, ce qui s’est passé depuis près de deux ans....

Mettez ce story board en reliure, dans l’ordre des faits, et vous comprendrez aisément, que les peurs d’aujourd’hui, ne sont que la continuation de celles vendues, et accumulées depuis si longtemps, dans un ordre crescendo.

C’est la façon de faire de ces piteux, qui veulent effacer les traces, de ce qu’ils veulent faire accepter comme inéluctable, sur le moment, et dont ils savent que cela vas se transformer en ignominie sans nom, si, ils ne les recouvrent pas de nouvelles puanteurs, encore plus fortes .

Ce qu’ils sont devenus, aujourd’hui, et qu’ils nous demandent d’accréditer par notre consentement, n’est que le résultat d’une superposition d’actes délictueux, dont ils espèrent un pardon en indulgence nationale !