@L’apostilleur

Moi, cela ne m’intéresse plus vraiment à ce jour, je crois que ce sont des fleurs prématurément fanées. Cela a déjà été tellement déversé ici et d’ailleurs nous avons eu l’occasion de nous croiser pour nous dire que nous n’étions pas d’accord. A chacun d’apprécier nos arguments. C’est votre pré carré, défendez-le une fois de plus si cela vous fait envie.

L’objectif principal est bien entendu de montrer un certain type de propagande en action, ses procédés, ses effets. Les présupposés que cela révèlent à propos de nos modes de réflexion et de décision. Je considère que cela ressort de la salubrité publique. J’aurais pu dire salubrité citoyenne. Modestement mais sérieusement. Et je ne suis pas le seul ici, chacun à sa façon.Et c’est notre humble contribution au débat démocratique.

Après chacun y fait son miel ou pas. 

Donc j’affiche mes convictions (je crois que c’est une erreur de jouer à cache-cache avec nos lecteurs) en proposant mes analyses. Je ne construis pas un article pour l’essentiel sur des copier-coller, des slogans, des approximations et je réponds quand je suis sérieusement interpellé. Je n’éprouve pas le besoin de trafiquer les chiffres des sondages ni d’en faire des représentations tronquées parce que je l’ai souvent dit, les moyens se retrouvent toujours dans les fins. Ma démarche est d’inviter à la réflexion parce que j’ai toujours beaucoup appris de ceux honnêtes et rigoureux avec qui je n’étais pas d’accord. C’est vrai que je combats à l’occasion vivement de la propagande malhonnête en expliquant les procédés utilisés .Cela ne fait pas plaisir à ceux qui se trouvent visés ni à ceux qui aiment cela mais cela peut intéresser nos lecteurs ce qui est l’essentiel. Après tout à chacun d’assumer.

Si ce que je dis est faux, alors c’est tellement facile de le démontrer. J’invite à la réflexion. Chacun y prend ce qui l’intéresse. C’est à mon sens ce qu’il y a de plus intéressant à faire sur Agoravox dans la rubrique tribune libre. Ce n’est pas moi qui changerai. Pas plus d’ailleurs que ceux que je peux interpeller à l’occasion. Mais qui sait, certains de nos lecteurs y trouvent leur compte.

J’oubliais. Un détail. Je n’ai jamais eu besoin de censurer des commentateurs sur mes articles parce ce que je ne crains pas la controverse.