@l’auteur .
Merci pour cette
lucide mise des pendules à l’heure. Je m’y emploie aussi :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/excuses-repentance-quand-on-veut-225612
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/grande-voix-fawzia-zouari-jour-de-222048
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/nicole-belloubet-ministre-de-la-220689
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-islamistes-ont-pris-possession-219217
Et puis tenez,
cadeau :
Les « idiots
utiles »
Ecoutez jacasser ces
vieilles pies bavardes
Elles claquent du
bec une bave poissarde,
Leur croupion
déplumé chie des fientes de fiel,
L’odeur de leur
cerveau est pestilentiel.
Leurs compères
cafards partagent leurs estrons
Ils sont laids, ils
sont lâches, ils sont aussi poltrons.
Prétextant la
défense du pauvre ou du brimé,
Mouch’à merde du
côche, on les voit s’enflammer
Pour des causes
douteuses, pour des enjeux futiles,
Staline disait
d’eux : « c’est mes idiots utiles ! »
Ils attaquent en
meute qui n’est pas de leur bord
Ils se pensent
héros, ils ne sont que des porcs.
Ils se couchent
devant toutes les dictatures
Toujours prêts à
trahir pour quelques épluchures
D’écoute ou de
pouvoir. Ayant peur des violents
Ils leurs lèchent
les bottes pour intégrer leur clan.
Ils étaient
délateurs pendant l’Inquisition,
Cloportes bien
cachés à la Révolution,
Ils étaient
pro-nazis quand Hitler dominait,
Zélateurs de
Staline sans trop se chagriner
Des millions de
morts, des enfers de souffrance
Que ceux qu’ils
révéraient créaient en abondance.
Leurs maîtres
maintenant, ce sont les islamistes,
Leurs héros :
Ben Laden et tous les terroristes !
Lapider jusqu’à
mort une femme adultère
Jouir de sa douleur
en lui jetant la pierre
Ne les offense pas.
Décapiter un homme,
lui sortir la cervelle
Sous prétexte que
c’est un homosexuel
Ne les offense pas.
Exciser des
fillettes, couper leur clitoris
Ô, pour leur éviter
de succomber au vice
Ne les offense pas.
Considérer la Femme
émanation du Mal
Et la traiter
souvent moins bien qu’un animal
Ne les offense pas,
Puisque ce sont
leurs maîtres qui pensent que c’est bien.
Regardez-les,
couchés, rampant comme des chiens,
Ils ont de la peau
morte sur leur langue râpeuse
A force de lécher
les couilles venimeuses
De ceux qui les
enfilent.
Pauvres « idiots
utiles. »
Vous
vous pensez censeurs, vous n’êtes que gorets,
En
éclatant de rire, je vous pisse à la raie !
Victor