"Il
n’y a aucune raison de paniquer et il n’y a aucune raison de paralyser
toute l’économie mondiale [...] Des existences sont détruites, des
emplois : cela provoque des déséquilibres sociaux."
On a créé une épidémie de laboratoire. Ce n’est pas une épidémie réelle
Dr. Bodo Schiffmann (Directeur médical d’un centre interrégional pour les troubles de la fonction d’équilibre) :
« Il n’y a aucune raison de
paniquer et il n’y a aucune raison de paralyser toute l’économie
mondiale et tout d’abord l’Allemagne. Ça, c’est menaçant. Cela va
entraîner une vague d’insolvabilité si on ne réagit pas très vite. Ce
sont des sommes d’argent incroyables qui sont perdues chaque jour. Des
existences sont détruites, des emplois : cela provoque des déséquilibres
sociaux. » « Petit à petit de plus en plus de gens prennent conscience
de ce problème. Ce ne sont plus seulement quelques médecins particuliers
qui sont irrités par cette situation ; leur nombre augmente. Je reçois
chaque jour des e-mails reconnaissants de médecins qui me demandent
s’ils peuvent mettre les liens de mes vidéos sur leur site internet
[...] Je suis consterné de constater combien ils sont nombreux à
s’adresser à moi. »
« La presse et internet créent des
scénarios horribles qui ont provoqué le chaos dans les hôpitaux , en
Italie, et en Chine. Et non le virus ! »
« Je me joins à mes confrères
Wodarg, Köhnlein, Bhakdi et je dis : « Arrêtez de tester à tout va !,
vous créez une épidémie de laboratoire. Ce n’est pas une épidémie
réelle. »
Covid-19 a la même dangerosité que la grippe
Le professeur Stefan W. Hockertz (Immunologue et toxicologue) :
« Le virus, à mon avis, a à peu près la
même dangerosité que la grippe. Je suis d’accord là-dessus avec de
nombreux médecins. » « On essaie de nous suggérer qu’il s’agirait
d’Ebola, de la variole ou de la peste. Ce n’est pas le cas. C’est une
infection qui évolue chez 90 % de tous les contaminés avec de légers
symptômes. »
Le Pr. Hockertz explique qu’en
Italie, chaque année, 4 500 à 7 000 personnes meurent d’infections
nosocomiales. Ce sont des infections que les patients contractent à
l’hôpital.
« Ces chiffres montrent clairement que
l’Italie a une hygiène hospitalière très mauvaise. Les personnes sont
hospitalisées avec une pneumonie, ne meurent pas de la pneumonie mais
des germes hospitaliers. D’où le taux élevé de mortalité que l’on
remarque en Italie. Encore une fois : ces personnes ne meurent pas du
coronavirus, elles meurent avec le coronavirus. Je considère, en tant
que toxicologue, ou comme quelqu’un qui est chargé d’évaluer les
risques, que ces mesures sont complètement disproportionnées. Ici on
détruit des existences… »
Des décès avec présence de Coronavirus et non causés par le Coronavirus
Angello Borelli (Directeur de la Protection Civile italienne) :
« La plupart des médias rapportent
que l’Italie a jusqu’à 800 décès par jour dû au coronavirus. Angello
Borelli a contesté cela au cours d’une conférence de presse. Il a
insisté sur le fait qu’il s’agissait en réalité de décès « avec présence
de Coronavirus et non causés par le Coronavirus ». En d’autres termes
ces personnes sont mortes et ont été testées, en plus, positives, sans
tenir compte des affections préexistantes (co-morbidité) telles que le
cancer ou le grand âge.
Ce n’est pas médical, mais politique
Dr. Jörg Brokmann (Directeur du
service d’urgence de la clinique universitaire d’Aix-la-Chapelle, il
s’est exprimé en sa qualité de Président d’un congrès pour médecins
urgentistes et personnels sauveteurs) :
« Nous n’avons pas de situation
médicale, nous avons une situation politique.[...]. Nous ne pouvons
quand même pas nous occuper exclusivement de patients du Covid-19 qui
pour la plupart présentent une évolution légère de la maladie. »
Le confinement tuera plus que le virus
Professeur Yoram Lass (ancien ministre de la Santé israélien) :
Il explique que le nouveau coronavirus
est moins dangereux que la grippe et que les couvre-feux tueraient plus
de gens que le virus. D’après le Pr Lass « Les chiffres ne justifient
aucune panique ». On sait que l’Italie a une énorme morbidité due aux
maladies des voies respiratoires qui est trois fois plus élevée que dans
le reste de l’Europe.