@ con tenu ( ouais, il est un peu inutilement long, ton pseudo : on est entre nous, ici )

J’adore ta prose : ça me rappelle mes années collège, quand j’étais le meilleur en rédaction. Hi hi hi... Tout le monde est impressionné, pas vrai, les gars ? Si, si... On est impressionnés ! Oh la vache ! Qu’est-ce qu’y nous met dans la gueule, le con tenu ! Un vrai mâle dominant ! Cet esprit ! Mais c’est Voltaire ! C’est La Bruyère ! Mouchés, qu’on est tous ! La queue entre les jambes... On a honte, mais on t’admire : comment qu’y sait écrire, le gars ! Il est au moins prof de français : il fait pas de fautes d’orthographe... Et l’ironie mordante ! Y me dit de façon imagée que je suis pas intelligent... Devant tout le monde ! La honte... Mes jambes se dérobent : vais-je survivre à cette exécution littéraire en règle ? Idées de suicide, envie de disparaître sous terre... Non, ne me regardez pas, ça fait trop mal !

Ha ha ha... Merci à toi, ami gauchiste. T’es le meilleur ! Quel bon moment ! Haaaaaa... Mon cher con tenu, tu as un nouvel admirateur. En plus de toi-même, je veux dire. Ah, au fait, je voulais te poser une question : « tenu », pourquoi ?

Bon, ne lis pas ce qui suit, ce n’est pas pour toi. A bientôt, copain ! Ouais, salut ! Salut ! Ouais, à demain !

Les gars, on en tient un ! Un champion du monde ! Un prix Nobel ! LE con ! Mieux : le père de tous les cons ! Amoureux de lui-même au dernier degré ! Le gars, quand il se regarde dans une glace, il est obligé de mettre des lunettes de soleil ! Et avec un esprit de cour de récré : il est persuadé qu’il « casse » les gens avec un esprit irrésistible ! Et qu’on est tous en train de pleurer, chez nous, devant une telle cruauté ! Ha ha ha... Il est fabuleux !

Il faut tout faire pour le garder, celui-là. Oh, allez ! Allez !