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Commentaire de Calvero

sur Le paradoxe nationaliste et identitaire de la droite


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Calvero Calvero 9 juin 2018 02:27

@Cateaufoncel2

"J’ai parlé de mise en valeur d’un pays, d’un territoire, pas de mise en valeur de personnes.« 

Très bien dans ce cas pour revenir à mon exemple je doute que le pays et le territoire Aztèques ai beaucoup été mis en valeur à cette occasion, leur civilisation a été rasé et leurs villes pour la plupart détruites, drôle de définition de la mise en valeur.

 »Je ne vais pas rechercher tout ce qui a été mis en œuvre au Congo, entre 1865 et 1909, mais l’énorme patrimoine constitué par Léopold II, et qu’il a légué à la Belgique, est bel et bien le résultat de la colonisation du Congo. Sa fortune personnelle a été estimée, par un historien français, à six milliards de francs, de 1997.

Et 10 millions de morts aussi par des historiens accessoirement mais ce n’est surement qu’un détails.

« un patchwork de communautés étant plus facile à manœuvrer qu’un peuple ethniquement homogène. »

Ah pardon les ethnicités homogènes sont souvent bien plus servile à ce point qu’en stimulant chez eux le nationalisme des tas de dictatures se sont installées.

"si vous avez pris cela comme une attaque personnelle, ce n’est pas en raison de termes agressifs ou offensants que j’aurais utilisés, il n’y en a aucun dans mes diverses interventions.« 

Je n’ai jamais dis ça, si je l’avais mal pris je ne me serais pas efforcé de vous répondre.

 »Et, je suis bien obligé d’avouer, que de ce point de vue, je suis quelque peu resté sur ma faim."

Si tenté que vous ayez eu faim, je pense qu’il vous est plus aise de vous défouler gratuitement sur du gauchos c’était bien l’objet de votre premier commentaire.
Plutôt que de commenter le fond de l’article vous avez contre-attaqué directement à coup de clichés habituel sans même chercher à faire l’anti-thèse du texte, ce qui aurait été bien plus constructif qu’un combat idéologique voué à l’échec, nous sommes conscient de n’avoir rien avoir de commun tous les deux, pour tout vous dire je n’ai même aucun respect pour vos opinions qui représentent pour moi un danger certains, d’autant plus qu’elles se répandent comme la peste.

Je n’ai aucun espoir sur le fait que je puisse d’une quelconque manière vous faire changer vos positions à mon grand désarrois, néanmoins je dois bien avouer que la dialogue a été possible ce qui est malgré tout une bonne chose au fond.
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