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Commentaire de eric

sur Sexisme : Dialogue surréaliste entre une féministe radicale et un employé de Décathlon


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eric 8 février 2018 14:05

On ne surestimera jamais assez les souffrances de ces militantes.

Elle sont droit à des réponses.

Celles-ci sont politiques. Il faut en effet des moyens pour répondre à leurs angoisses. Il est aussi indispensable d’avoir des modes de traitement « racisés ». Par exemple des Décathelons réservés aux féministes avec des sacs rose pour homme.

En effet : ma grand-mère née en 1900 a toujours eu un carnet de chèque, un permis de conduire et pendant la grande guerre, à 15 ans, sont père mobilisé dans la territoriale, sa mère malade, elle gérait la propriété et la commune ( le Maire était aussi au front) ; Elle a d’ailleurs crée un arbre de noël pour les enfants qui est toujours mis en œuvre aujourd’hui. Son aïeule, toujours vers 15-16 ans, au 17 ème siècle, fut la force qui maintint le flambeau du calviniste, alors même que sa famille commençait à en avoir marre des persécution ;
 Arrêtée par le pouvoir catholique, elle réussi à s’enfuir, à se réfugier en Angleterre, à se marier là bas avant de revenir au pays quand les troubles cessèrent.

Des exemples comme cela, j’en ai plein la famille. Personne ne s’est jamais demandé si tenir une porte ou s’habiller en rose était une oppression. D’une manière générale, du reste, les femmes protestantes ne sont pas plus portées sur le rose bonbon que leurs compagnons. Comme quoi, effectivement, les goûts...Les rapports ont toujours été déterminés, sous réserve des aléas classiques de la vie, par les compromis dans la distribution des rôles, cogérés par les hommes et les femmes en fonction de leurs goûts, de l’état de la société, des nécessités pratiques dans le cadre de l’amour conjugal et du projet de Dieu pour les hommes dans le couple quel que soit leur sexe.....

C’est assez dire que l’égalité (réelle, harmonieuse humaine, et pas formelle 50/50) à tous égard des femmes et des hommes n’est pas une question d’époque mais bien d’individus, de familles, de milieux.

Que savons nous du passé des malheureuses féminnazies ? En pratique rien. Nous savons ce qu’elles nous en disent.

Leurs grand mères, au sens marge, étaient oppressées, violées, battues, stigmatisées voir « féminicidé ». Sur ce dernier point on est en droit d’être un peu septique, mais bon. Dans une large mesure, elles même sont des victimes.

Pour le reste, avec un passé familial de ce genre, on n’est qu’à moitié étonné. On sait que les pathologies familiales peuvent se transmettre entre les générations.

Bon, elles enjolivent peut être un peu, mais nous savons que les souffrances sont subjectives. Qui sommes nous pour affirmer qu’elles se trompent sur leur propre passé ? L’important est que concrètement, cela les empêche de vivre normalement.

Il faut les aider, envoyer des spécialistes formés, les tenir à l’écart des descendant de femmes heureuses qui risqueraient de sous évaluer leur état et de les choquer malgré eux. C’est le cas ici chez Décathlon.

La société est dangereuse pour elles et elles le sont pour la société.
Voir l’exemple de la grande souffrante made in USA ici : https://www.youtube.com/watch?v=zyDuSYvrGBY
Ou cette autre qui est agressée 10 fois par jour !!!! (chercher la réponse de Marion Seclin, la spécialiste youtube CAnal + de « comment retirer le sable de sa raie quand on est la plage » à la vidéo du raptor dissident.

C’est à l’État d’organiser une non mixité entre ces personnes en grande souffrance et le monde extérieur qui ne leur convient pas.

Cette protection pourrait se faire sur la base d’un volontariat ? Ou faudrait il être volontariste ?


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