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grotesque, mensonger, rempli de haine contre les populations
d’origines immigrées. Rien que le titre est bidon : ’’... quand les
racailles attaquent LES collèges de Saint-Denis (93)’’.
LES
collèges ?
Il y a 145 collèges dans le 93 et 116 lycées,
dont 9 collèges rien qu’à Saint Denis.
source =
http://www.journaldesfemmes.com/maman/ecole/seine-saint-denis/departement-93
GANGS
(les mots ont un sens).
Quant au mensonger : ’’comment nos
amis américains, par exemple, ont réussi à enrayer le problème il
y a trente ans’’, il convient de rappeler à l’auteur que la tuerie
de Colombine, perpétrée par 2 élèves, c’était en 1999.
En avril 2007 un
étudiant de 23 ans d’origine coréenne tue 32 personnes avant de se
donner la mort sur le campus de l’université de Virginia Tech.
En mars 2005,
Jeff Weise,
un adolescent de 16 ans
fasciné par l’idéologie nazie,
a d’abord tué son
grand-père et sa femme dans
une habitation de la réserve indienne de Red
Lake (Minnesota),
avant de poursuivre
sa tuerie dans son lycée.
Au total, neuf
personnes sont mortes
sous ses balles, et une
douzaine d’autres ont été blessées.
En décembre 2012 un jeune homme de 20 ans,
apparemment perturbé, tue 26 personnes, dont 20 enfants de CP, dans
l’école de Sandy Hook à Newton (Connecticut).
Et cette
liste n’est pas exhaustive.
’’Pour le second degré
(collèges et lycées), c’est encore en Seine-Saint-Denis qu’il y a
le plus d’effectifs dans le public (près de 115
000 élèves).’’
source =
http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-saint-denis-93/le-93-compte-le-plus-grand-nombre-d-ecoliers-de-la-region-19-01-2015-4458251.php
Quelques
dizaines de trouduc qui mettent le binz alors que des dizaines de
milliers d’élèves ne demandent qu’à bosser, ce n’est pas un
problème insoluble pour un pays prétendant aller rétablir l’ordre
au Moyen-Orient ; ou en Tunisie comme le proposait une ministre qui
voulait lutter contre une juste révolte populaire !
En
France il y a des lois, c’est aux forces de l’ordre et à la justice
de les faire respecter. Qu’elles fassent leur boulot.
Laisser
perdurer les problèmes dans ces banlieues est une volonté délibérée
du pouvoir politique pour empêcher ces populations de penser à
autre chose que la résolution de leurs problèmes quotidiens.