La retraite à 65 ans n’est-elle pas une aberration, dans un monde où le
travail se raréfie, où les robots supplantent de plus en plus les
hommes ?
( noter que les robots ne supplantent pas : ce sont les hommes qui utilisent des robots ; Tant pis pour celles et ceux qui voudraient se mettre en concurrence avec des objets dépourvus de conscience plutôt que d’exiger une réelle égalité en dignité -donc en répartiotion de l’otium entre ceux qui ont l’honneur de défendre leur qualité d’Hommes)
Le mathématicien-philosophe Bertrand Russell appelait à toujours considérer avant tout les faits.
* Qui aujourd’hui est susceptible de ’toucher’ une retraite « normale’ (du ’privé’) à l’âge de 65 ans ?
- le pourcentage de chômeurs âgés et de très longue durée n’atteint-il pas des records en France
- les chômeurs de plus de 50 ans ont-ils de réelles perspectives d’embauche ? et nos »employeurs" du privé ou du public ont-ils jamais témoigné d’un souhait de pouvoir faire appel à eux ?
D’autre part :
si jamais l’espérance de vie est corrélée au bénéfice d’une retraite, alors retarder l’âge de la retraite sous prétexte d’une augmentation de l’espérance de vie est soit un non-sens, soit une malhonnêteté cyniquement assumée !