Quelques lueurs de vérité parviennent à poindre sous la chape de plomb abattue par le cercle politico-médiatique sur la réalité du film des évènements et de son atroce scénario.

Extrait (d’un hebdo rendu célèbre par la manchette d’1 chronique de son directeur « Une guerre juste, juste une guerre »)

lL prétend qu’il doit « livrer des glaces »

D’après les informations de M6, Mohamed Lahouaiej ment pour franchir les contrôles de sécurité. Il aurait prétendu qu’il devait « livrer des glaces ». Le terroriste fonce alors sur le trottoir de la promenade, entre le numéro 11 et 147

Que dire et que penser des dispositions, procédures et consignes données aux forces de polices (au pluriel) lors d’un célébration publique de grande ampleur dans une cité décrite en des termes nesupportant aucune ambiguïté : l’un des plus important foyer de l’islamisme radical en France, la cité qui recense le plus grand nombre de jeunes ayant combattu auprès de Daesh en Syrie, de 

La dangerosité associée à certains quartier faisaient craindre,lors du Festival de Cannes, et des débats houleux autour de la projection du film Hors la Loi (un brulot) de Rachid Bouchareb un soulèvement des populations communautaires.

http://www.lemonde.fr/festival-de-cannes/article/2010/05/22/hors-la-loi-a-transforme-cannes-la-festivaliere-en-village-securise_1361456_766360.html

Que dire de la déchéance d’un gouvernement incompétent, inconséquent, sauf lorsqu’il s’agit de son propre confort et de sa propre sécurité, incapable de s’assurer de l’application de consignes élémentaires de sécurité (via les instructions données par le Préfet dont on sait qu’elles s’imposent aux pouvoir communal), d’une avenue célébrée au niveau mondial pour sa beauté, cible rêvée de la démence terroriste.

Des check points béants ouvrant sur des allées piétonnes plus larges que des voies de circulation, un relâchement ou laxisme fatal reliant l’exécutant local au sommet de l’Etat, des média débitant les rituels anesthésiants et formules d’usage en de pareilles circonstance, le cordage épais de l’étouffement vitement des questions et sujets qui fâchent, inopportuns, malvenus, malséants, outrancièrs, déployant la stratégie convenue de l’évitement, de la confrontation au réel.

Proverbe chinois : le poisson pourrit par tête.

En Hexagone la mal semble s’être propagé à une partie du corps, Kafka, Courtine et Dante en prime.