Les problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui ne peuvent pas
être attribués à la seule lutte des classes. Ce n’est pas simplement
une question de classe dirigeante au détriment du peuple, car nous avons
vu que les gains de ceux qui ont le capital ne fait pas leur vie plus
épanouissante. Ce n’est pas grave si une personne est enterrée vivante
dans une prison, dans une école, dans un atelier dans un ghetto, dans
une université prestigieuse, dans une copropriété achetée à crédit, ou
dans une maison avec une piscine, elle restera enterrée vivante. Tout le
monde souffre de statu quo d’aujourd’hui, quoique différemment, mais si
un homme meurt de faim avec son salaire minimum, épuisé par ses
responsabilités répétitives au bureau, ou envahi par un curieux
sentiment de vide qui accompagne l’acquisition de la richesse
matérielle, il a aussi tout à gagner dans la lutte pour le changement.
Donc, nous devons tous, riches et pauvres, s’unir et tenir compte de
cette situation et lutter pour la modifier.