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Commentaire de John Foster

sur Après le « Casse-toi pauvre con ! » de M. Sarkozy, voici le « dégage ! » de M. Mélenchon


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John Foster 27 septembre 2011 12:29

Oui oui, d’ailleurs hier j’ai débarqué chez Asselineau vers 2 heures du mat’, après que celui-ci m’eut sorti au motif que la situation était urgente.


Trouvant la porte ouverte, je décide de rentrer. Dans la pénombre, au milieu de la pièce spacieuse ornée de tapisseries anciennes éclairées par la seule lueure instable du feu de cheminée, je distingue Larouche dans un gros fauteuil rouge en velour, tirant sur son cigare, visiblement fatigué par le décalage horaire. Sur ses genoux, était assis Jacques Cheminade et un peu plus loin, tout près du feu, Anne Lauvergeon, les yeux dans le vague, jetant machinalement des petits morceaux de plutonium qui éclatent au contact des flammes. Au milieu de tout ce petit monde, sur un fautueil en érable japonais visiblement très vieux, trônait fièrement Asselineau, muni d’un couteau de boucher faisant festin de ce que je peux distinguer des restes de Simone Veil.

Lorsqu’il m’aperçu, Asselineau, visiblement contrarié de ne pas m’avoir entenu frapper, me fit signe d’avanger. Après avoir, comme il est de coutume, prêté trois fois serment devant la couveuse qui lui servait de marche pied, que rien de ce que je voyais ce soir ne serait révélé, je lui baise successivement chaque orteil dans le sens inverse de la rotation de la Terre.

Après ce protocol habituel, Asselineau me confie la mission de le défendre corps et âme le lendemain à 9h36, lorsque sera publié sur Agoravox, son article sur Mélenchon. Chose que j’accèpte volontier non sans contrepartie financière. J’obtiens au passage le droit d’emporter chez moi un morceau de soucoupe volante tombée de la poche du veston de Cheminade.

Sérieusement, vous vous entendez ? Citez moi une seule source ou déclaration d’Asselineau confirmant vos dire. C’est tout ce que je vous demande. Il ne suffit pas d’affirmer des choses pour les rendre vraies.

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