Un marxisme mal compris conduisant à la dictature et par opportunité son opposition affirmant que « libérer le travail, libérer le marché, interdire toute entrave à l’envie de thune » serait bonne pour l’humanité : il serait temps de sortir de la caverne, de balancer les idées et slogans mécaniques et d’enfin réfléchir, ça urge !

Si le goulag est le bout du bout de l’horreur, cette « liberté » - haranguée par les Rockfeller, Chesnay et autres générations de Bush (sans oublier tous les altruistes des divers CAC40) - ne représente pas l’antidote au « poison marxiste » dénoncé depuis des lustres par nos blancs financiers, qui se soucient de l’humanité comme de leur première chemise  !... Ah cette faucille... ah ce marteau...c’est de leur faute si c’est le bordel...regardez !!!

Si par naïveté, certains ont prôné pour réponse à de réelles misères sociales un égalitarisme, collectiviste et inhumain (tous pareils) in fine, l’autre bord (la finance), celui du profit tel Picsou dont les yeux sont des dollars, n’est peuplé que de gens qui se comportent un peu comme le seraient ces obsédés sexuels, c’est à dire que ces derniers et pour la « chose », seul l’argent et son accumulation les excitent, c’est leur libido à eux... l’argent quant à l’humanité...quelle humanité ?

Il me semble donc - De Gaulle l’avait compris...avec Chaban - qu’il vous faut, homme politique, analyser le réel un peu nouveau, puis revoir où maintenant placer le curseur ou plutôt comment couper les parts du gâteau collectif, collectif car confectionné par tous, et sortir de la fameuse caverne du non moins fameux Platon !!!

Le monde global est de plus en plus compliqué et cela est une raison supplémentaire pour s’éloigner des slogans et autres « brèves de comptoirs » qui se veulent expliquer simplement ce qui est très compliqué... !!!