• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de ffi

sur Mieux qu'un emprunt, c'est d'une vraie réforme fiscale dont la France a besoin…


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

ffi ffi 17 juillet 2009 14:52

Et quoi de mieux, pour cesser de dilapider l’argent public, que de faire cesser ces paiements d’intérêts sur la dette et surtout de cesser d’emprunter à des opérateurs privés qui ne pense qu’à leur profit. N’y-a-t-il pas mieux à faire ?
Sans chômage, les caisses des protections sociales seraient équilibrées.
Qui a les moyens de créer les emplois ? Un rmiste ? Un chomeur ? Avec quelle efficacité, quelle productivité ? Non, ceux qui peuvent créer les emplois sont ceux qui ont du capital ! Les très grosses entreprises et le gouvernement.

Mais que font les entreprises ? Ont-elles le souci de créer-elle des emplois ? Que nenni, elles n’ont que le soucis de faire un max de profit et elles ont, en conséquence, transférés les infrastructures économiques de production dans les pays sans protection sociales.

Mais que fait le gouvernement ? Ne pourrait-il pas prendre le relais ? Et bien, non, c’est interdit par les traités de libre-échange européens, l’état ne peut investir lui-même dans des infrastructures économiques.

Tout conspire donc contre les systèmes sociaux. L’absence de volonté des opérateurs privés à résoudre le problème du chômage à cause de la pratique du profit maximum et de la poursuite du stricte intérêt personnel. Les traités internationaux qui interdisent à l’Etat de prendre le relais.
A se demander si la volonté des uns n’a pas créé les interdits pour les autres.

De là deux solution.
- Soit suppression totale des système sociaux (puisque qu’ils sont autonomes du gouvernement, ce n’est pas facile - système paritaire).
- Soit changement de logique. Le gouvernement investit directement dans l’économie productive, sans emprunter à la finance privée, pour créer les emplois et reconstruire les infrastructures de production détruites par la loi du profit maximum.

La première solution mène au génocide : moins de protection sociale, plus de famine, plus de famine, plus de maladie, moins de soin - plus de mort. Un pays exangue. Fin du progrès.

La seconde est plus durable. Organisation de l’économie dans le sens des intérêts mutuels, gestion à long terme, plein-emploi, protections sociales efficaces, services publics.

C’est indécent de proposer le suicide collectif de tous pour servir les intérêts personnels de quelques uns.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès