« C’est précisément parce que l’on vit dans l’imaginaire que l’on se fait tuer pour des idées que l’on croit absolument vraies et donc qui, pour celui qui y croit, méritent que l’on meurt pour elles. »
Evidement ! Mais je ne parlais pas du socialisme, mais de la personne de Marx elle même ! Si les fanatiques sont prés à tuer pour le marxisme, le sont ils pour prouver que Marx à vraiment vécu ? Certainement pas !
« Qui vit dans le réel ne peut être que critique et relativement sceptique quant à la prétendue vérité absolue des croyances. »
Diable ! Adieu la gauche en France, alors..
« Ce scepticisme relatif signifie le refus de tout dogmatisme (et toute religion de l’absolu ne peut pas ne pas l’être) au profit du pragmatisme intelligent et responsable (ou prudenciel). »
Vous tombez alors en plein relativisme...
« Aucune idée juste n’autorise à exiger la mort de qui que ce soit, fusse soi-même. »
Si, la Raison d’Etat.
« L’héroïsme sacrificiel est une aliénation perverse de l’imagination qui consiste à se soumettre (et à prétendre soumettre les autres) sans conditions à des idées transcendantes qui s’imposeraient à nous au prix de la mort du bonheur ou des plaisirs de vivre, donc de la seule authentique valeur de la vie, sauf à renoncer au plaisir de vivre sur terre, voire à souffrir ci-bas, pour être sauvé, béat, au ciel... »
Hum, c’est tout de même une caricature du christianisme que vous nous présentez là. En quoi être catho empéche t il les plaisir de la vie ? Louis XIV n’a-t-il pas eut une belle vie ? Or nul ne doute qu’il fut profondément catholique.
« Le tentation tragique au nom d’une idée est une tragique, car mortelle, illusion. elle consiste à croire trouver dans la mort, la valeur suprême de la vie... »
?? J’ai du mal à vous suivre. Kant était chretien.
« »Mourir pour des idées, d’accord, , mais de mort lente... !« chantait Brassens, bien après Epicure et le philosophe-poète Lucrèce. »
Trés efficace contre Hitler et ses potes communistes...