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Brutus

Brutus

ne mord pas mais aboie pour alerter d'une menace

Tableau de bord

  • Premier article le 29/11/2022
  • Modérateur depuis le 12/12/2022
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Derniers commentaires



  • Brutus Brutus 17 avril 13:49

    @Brutus

    Autre événement révélateur.

    En 1944, à la conférence de Bretton Woods, deux économistes, Harry Dexter White représentant Franklin Roosevelt, et John Keynes qui représentait un empire britannique en déclin ont proposé leurs stratégies respectives pour structurer le monde capitaliste après une guerre qui avait remis la plupart des compteurs à zéro. C’est le plan White fondé sur l’excédent commercial américain d’après-guerre qui l’a emporté. Il était destiné à « dollariser » l’Europe et le Japon pour leur permettre de reconstruire ce qu’eux-mêmes avaient détruit en échange de leur accord pour laisser les mains libres aux États-Unis en matière de politique monétaire internationale.

    Mais une question revient périodiquement : face aux « crises » à répétition, le plan de Keynes ne serait-il pas l’alternative la plus pertinente ?

    C’est ce qu’a proposé dès 2009 Zhou Xiaochuan, le gouverneur de la banque centrale de Chine, en regrettant que ce plan ait été rejeté à Bretton Woods. Deux ans plus tard, interrogé sur ce que devrait être le rôle du Fonds monétaire international (FMI) dans l’après-2008, Dominique Strauss-Kahn, qui en était alors le directeur général, répondait  : « Il y a soixante ans, Keynes avait déjà prévu ce qui était nécessaire, mais c’était trop tôt. Le temps est maintenant venu de l’appliquer. Et je crois que nous sommes prêts à le faire ! » Quelques semaines plus tard, Dominique Strauss-Kahn se rendait à New-York pour participer à une réunion où il s’apprêtait faire une proposition importante : adopter le système de Keynes dans lequel la responsabilité de l’ajustement incomberait à la fois aux débiteurs et aux créanciers en créant une chambre de compensation internationale (ICU, International Clearing Union) à laquelle participeraient les principales puissances économiques. Tout en conservant leurs propres monnaies et leurs banques centrales, les pays membres accepteraient d’effectuer tous les paiements entre eux dans une devise commune baptisée « bancor ». Ces paiements seraient enregistrés et gérés dans leur compte auprès de l’ICU.

    Mais DSK n’a pas pu participer à cette réunion. Il est tombé dans le guet-apens que l’on sait, et plus personne ne parle du « bancor ».




  • Brutus Brutus 17 avril 13:16

    @SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

    pour Kadhafi, Chavez et Sadam, c’était surtout le besoin de détruire des hommes d’états producteurs de pétrole décidés à accepter des paiements autrement qu’en dollars
    ça, faut pas y toucher
    pour l’Iran, ça coince un peu, mais ça pilonne à mort



  • Brutus Brutus 17 avril 13:05

    « Pourquoi éprouvent-ils le besoin d’aller ainsi en groupe ? »


    Question très pertinente qui provoque chez moi une réflexion pas du tout scientifique, mais intuitive.

    Contrairement à ses cousins, tous arboricoles., l’homme est un singe qui marche. D’ailleurs, les muscles les plus développés de cet hominidé sont ses fesses (très réduites chez les chimpanzés) qui lui sont indispensables pour la station debout et la marche bipède, lui laissant les mains libres pour pouvoir utiliser un arc, un smartphone ou un flash-ball.

    Bon, ça, c’est pour la marche, mais pourquoi en groupe ? Sans doute par atavisme, les troupes d’homos (sapiens, néandertalis, etc) et de leurs aieux pouvant se comparer à des meutes de loups menées par un couple alpha, deux familles de mammifères qualifiés de sociaux, comme les fourmis mais avec une latitude d’autonomie individuelle puls importante. Et ce petit manège pour aller chercher de nouveaux territoires propices à la chasse et à la cueillette a duré environ 300 00 ans pour sapiens et on ne sait pas trop combien paours ses aïeux.

    Alors, vous pensez bien, ça laisse des traces et un vieux mécanisme fait qu’on se sent bien quand on marche en troupe (y pas de jambes de bois, y a des nouilles mais ça ne se voit pas). C’est un peu comme pour la satisfaction que donne la vie en famille, la tendresse parents-enfants qui est un phénomène non acquis et qui est présent même chez les pires crapules.



  • Brutus Brutus 17 avril 11:02

    la convergence des centres, c’est un peu comme la quadrature du cercle

    ça occupe les potaches impubères pendant que les gens sérieux font leur business



  • Brutus Brutus 17 avril 10:23

    @leypanou

    il est vrai que les article signés Rosemar sont assez courts
    donc ils sont lus
    hélas
    et les lecteurs avalent une nouvelle dose de ce qu’ils on déjà ingurgité à la télé

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