Brutus

@amiaplacidus

l’allée Thiers et le poteau laid...

@amiaplacidus

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@Francis, agnotologue

L’utilisation du chien comme animal d’attelage a été interdite à Paris en 1824, mais elle est restée et s’est même développée dans certaines régions et aussi en Belgique et en Suisse jusqu’à la fin du dix-neuvième siècle.

En I899, 59 départements autorisaient encore l’attelage de chiens, et le Loiret était effectivement en tête de liste puisqu’à Gien il existait 300 voitures à chien. Dans certains départements, comme la Seine inférieure, la réglementation était plus stricte ; autorisation préfectorale et législation sur l’hygiène et l’alimentation des animaux comme sur les modèles des véhicules et harnais.

Une des explications du maintien de cette pratique était la pauvreté dans laquelle vivaient les principaux utilisateurs du chien de trait. Mais les services de l’état étaient aussi des utilisateurs ; (poste, armée),...

Depuisen 1925, le code de la route interdit la circulation des attelages à chien et la réglementation limite l’utilisation d’attelages de chiens aux activités ludiques et sportives. Ce qui donne une idée de l’âge avancé de notre ami C. Nabum.

« Quelle est la morale à retirer, c’est qu’en occident il n’y a pas d’endroits où les citoyens sont heureux s’ils ne sont pas cachés. »

Ailleurs, c’est mieux ? Où ça ? En Chine, en Inde ? En Afrique ?

Même les Papous ont des smartphones, et leurs enfants sont stewarts ou hôtesses de l’air sur les vols d’Air Niugini

@Réflexions du Miroir

j’avais bien compris ma question
j’attendais votre réponse à travers un autre prisme que celui de l’idéologie binaire américaine dans laquelle le monde se divise en deux : ceux qui tiennent un flingue et ceux qui creusent
la différence entre Démocrates et Républicains, c’est que les Démocrates espèrent ne pas avoir à tirer alors que les Républicains aiment bien les trophées et les scalps
d’autres prismes permettent d’observer un spectre plus lage