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Brutus

Brutus

ne mord pas mais aboie pour alerter d'une menace

Tableau de bord

  • Premier article le 29/11/2022
  • Modérateur depuis le 12/12/2022
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Derniers commentaires



  • Brutus Brutus 17 avril 14:21

    @Clocel

    ouahhh
    c’est mieux qu’un western
    l’Ural M70 a moins de punch qu’un mustang, mais c’est un engin increvable !
    moi je vois bien Poutine en cow-boy
    mais pour la belle institutrice enlevée la nuit et qui saute de sa fenêtre sur la croupe du cheval ou sur la selle arrière de la moto, faut revoir le casting !.



  • Brutus Brutus 17 avril 14:05

    @Jacques-Robert SIMON

    les responsables ne sont pas des individus
    ni même une communauté
    c’est une classe sociale qui s’est mondialisée, comme les familles royales d’autrefois



  • Brutus Brutus 17 avril 13:52

    @C’est Nabum

    alors, ça doit être un arbre « généalogique » !



  • Brutus Brutus 17 avril 13:50

    ben v’la que Poutine inonde, maintenant



  • Brutus Brutus 17 avril 13:49

    @Brutus

    Autre événement révélateur.

    En 1944, à la conférence de Bretton Woods, deux économistes, Harry Dexter White représentant Franklin Roosevelt, et John Keynes qui représentait un empire britannique en déclin ont proposé leurs stratégies respectives pour structurer le monde capitaliste après une guerre qui avait remis la plupart des compteurs à zéro. C’est le plan White fondé sur l’excédent commercial américain d’après-guerre qui l’a emporté. Il était destiné à « dollariser » l’Europe et le Japon pour leur permettre de reconstruire ce qu’eux-mêmes avaient détruit en échange de leur accord pour laisser les mains libres aux États-Unis en matière de politique monétaire internationale.

    Mais une question revient périodiquement : face aux « crises » à répétition, le plan de Keynes ne serait-il pas l’alternative la plus pertinente ?

    C’est ce qu’a proposé dès 2009 Zhou Xiaochuan, le gouverneur de la banque centrale de Chine, en regrettant que ce plan ait été rejeté à Bretton Woods. Deux ans plus tard, interrogé sur ce que devrait être le rôle du Fonds monétaire international (FMI) dans l’après-2008, Dominique Strauss-Kahn, qui en était alors le directeur général, répondait  : « Il y a soixante ans, Keynes avait déjà prévu ce qui était nécessaire, mais c’était trop tôt. Le temps est maintenant venu de l’appliquer. Et je crois que nous sommes prêts à le faire ! » Quelques semaines plus tard, Dominique Strauss-Kahn se rendait à New-York pour participer à une réunion où il s’apprêtait faire une proposition importante : adopter le système de Keynes dans lequel la responsabilité de l’ajustement incomberait à la fois aux débiteurs et aux créanciers en créant une chambre de compensation internationale (ICU, International Clearing Union) à laquelle participeraient les principales puissances économiques. Tout en conservant leurs propres monnaies et leurs banques centrales, les pays membres accepteraient d’effectuer tous les paiements entre eux dans une devise commune baptisée « bancor ». Ces paiements seraient enregistrés et gérés dans leur compte auprès de l’ICU.

    Mais DSK n’a pas pu participer à cette réunion. Il est tombé dans le guet-apens que l’on sait, et plus personne ne parle du « bancor ».


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