• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Nicole Cheverney

Nicole Cheverney

L'ogre a dîné.
Peuples ! Payez la carte.
Béranger

Tableau de bord

  • Premier article le 16/08/2014
  • Modérateur depuis le 22/09/2014
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 113 3135 6687
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 4758 4303 455
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 5 mars 2016 18:43

    @EvarX

    La mode sur Agoravox en ce moment est de « corriger » les fautes des auteurs d’article par les commentaristes. OK, mais lorsque l’on écrit sur un clavier, on a plus de chances de faire des coquilles qu’en écrivant sur papier où l’on a plus de temps et plus à l’aise pour se relire. Soyez indulgents !



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 5 mars 2016 13:01

    @lsga

    Pour l’instant le seul à prétendre expliquer le communisme, c’est vous ! Peut⁻être faites-vous autorité en la matière, alors je vous pose la question : à part de « tuer tout le monde » avec votre kalachnikov et après cette tabula rasa, quel après viable envisagez-vous qui n’aille pas à l’encontre des droits de l’homme ?



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 5 mars 2016 12:05

    Isga,

    Aucun parti communiste à travers les continents n’ont supprimé le salariat. Sinon, seuls les Anarchistes proposaient l’abolition de l’Argent.

    L’idée actuelle de refonder un PC ne se basera pas sur l’abolition du salariat, mais de redéfinir les règles d’équité et de décence de vie pour les ouvriers, les employés, les cadres d’entreprises et de limiter la démesure du capitalisme financier qui ouvrirait les vannes à un chômage mondial, en favorisant la robotisation totale des forces de travail et de supprimer l’intervention humaine.

    Etre salarié, qu’est-ce que cela veut dire aujourd’hui ? Ce n’est pas le fait de l’être qui pose problème, c’est l’équation entre les revenus salariaux, et ceux des forces d’exploitation du travail, de l’entreprise grande ou petite et du niveau de vie, des contrats à durée indéterminée que l’on fait disparaître et qui vous balancent directement dans le chômage, et surtout, le fait que la plus grosse part va au patron et la part minime à l’ouvrier, l’employé, le cadre, etc... , c’est le rôle de l’Etat, régulateur ou pas de l’Economie. Alors, il me semble que votre langage « révolutionnaire » ne tient pas la route, nous ne sommes plus au XIXe siècle. Et nous n’y retomberons pas. C’est la raison pour laquelle, les forces obscurantistes qui sapent le moral des rénovateurs de cette gauche inféodée, comme le PRCF, par exemple, utilisent peu ou prou des armes analogues aux vôtres en citant sans cesse la rhétorique marxiste mal digérée, sans avoir pris la mesure de l’évolution historique. Nous avons eu deux guerres mondiales, pour asseoir le capitalisme, à l’Ouest, et nous avons eu à l’Est, 80 ans de communisme. Depuis la chute du mur de Berlin, les forces progressistes se la sont bouclées, et aujourd’hui, les essais thérapeutiques de choc pour faire taire les lanceurs d’alertes sont légions.



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 5 mars 2016 11:39

    @Gasty

    Bonjour,

    Dès 1982, après avoir voté Mitterrand, et avoir laissé passer l’état de grâce, j’ai commencé à être en colère. Oh ! une petite colère bien passive, car la situation n’était pas encore ce qu’elle est devenue aujourd’hui où plus aucune éthique n’existe à tous les niveaux de la société, à tous les niveaux de la politique, là où la mafia a tout noyauté et qui met gravement en danger notre civilisation ! Ce n’est pas qu’une question de parti politique, c’est tout ce qui nous pend au nez pour les prochaines années à venir qui doit être combattu. Beaucoup de gens de ma génération des baby-boom, s’aperçoivent après moultes années que nous ne pouvons plus continuer à subir les prédations qui s’adressent d’abord à nos enfants, à nos petits-enfants et aux générations futures.



  • Nicole Cheverney Nicole CHEVERNEY 5 mars 2016 11:28


    Je ne suis pas d’accord avec le mot « amoral » concernant la définition du capitalisme. Je préfère « immoral », par antagonisme avec le mot « moral ».
    Si quelque chose est en dehors de toute morale, « amoral », donc sans définition du bien ni mal, il peut devenir par défaut, acceptable, s’il ne rentre pas dans certains principes d’éthique. Les « valeurs » étant fluctuantes par nature, donc parlons de « principes ». Le capitalisme est foncièrement « immoral », par essence, puisqu’il ne trouve aucune limite à ses appétits et s’oppose frontalement à la « morale » humaniste.

    Pour s’en convaincre, cette vidéo : les nouveaux loups de Wall Street.

    https://www.youtube.com/watch?v=6oG_sHcH9tA

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Tribune Libre Histoire Italie Climat Notre-Dame

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv