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Nick Corey

Je propose un cycle de réflexions sur ce l'on appelle le "wokisme", autrement dit, le postmodernisme.
1- Définition et homogénéité de la notion
2- Le postmodernisme dans l'Histoire :
  60/70 , 80/90 et 2000/2010.
En cours : La question de l'universalisme (au moins 2 textes)

Tableau de bord

  • Premier article le 19/03/2018
  • Modérateur depuis le 02/06/2018
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Derniers commentaires



  • Nick Corey 6 octobre 2022 08:24

    @Jonas
    Ersotte, Janpol Arpagon, Lavergeonne, Chiapas, Micron, Muluche... Nous n’avons pas la même notion de « tous les échelons » de la « société civile »... 
    Par ailleurs, je suis de souche, français au carré et bien plus encore (je suis remonté jusqu’à 1650, début de l’état civil dans mon canton d’origine), et j’habite dans une banlieue parisienne réputée à l’international pour ses groupes de rap, et ses graffitis. Dans mon quartier qui en bordure d’une zone indus, y a surtout des portugais. Et depuis quelques années, j’observe un grand remplacement bobo plus qu’immigré.
    Après, si vous me dîtes qu’il y a de plus en plus d’immigrés bobos, vous ne pourrez plus me parler de problème d’assimilation...



  • Nick Corey 6 octobre 2022 07:55

    @sylvain
    Un autre point important me semble être que tout le monde se rend bien compte que le mouvement woke en général bénéficie du plus grand soutiens de tous les médias et de tous les décideurs.

    C’est plus compliqué. Je ne suis pas certain de votre opinion précise sur certains points de la question, donc je vais essayer de faire des échelles.

    Si l’on s’en tient stricto sensu à la façon dont le « wokisme » est détesté, on ne peut pas dire que tous les médias sont wokes. Cnews, qui bénéficie d’une très large audience, et d’une façon générale, les médias bolloréens (Europe 1 notamment) ne sont pas wokes. Le Figaro, on peut pas dire, quand même... Ce sont eux, d’ailleurs, qui les dénoncent.

    MAIS  si on garde à l’idée que woke = postmodernisme, et que postmoderne est le nom d’une condition historique, alors oui, ils le sont. Et beaucoup d’états de fait les concernant le prouvent. Il y a de la diversité à Cnews. Zimmy, c’est juste un mec de banlieue agressif qui se la pête, comme n’importe lascar qui tient les murs en bas de chez moi (il remplit plusieurs quotas, lui). Je ne dirai rien sur son acolyte de plateau, mais j’ai l’impression de la connaître, et pas parce que j’ai traîné chez les bourgeois. Si M. Praud, journaliste de foot, peut animer une émission « politique », c’est parce que nous sommes dans une période pm. Et tous ces gens insistent tellement sur le fait qu’il faut une diversité des opinions dans les médias...
    Mon 4è article portera sur la question de la condition histo pm, et j’en parlerai plus en détail.

    ’il sert de cache sexe aux puissants pour éviter de parler des inégalités galopantes

    Tout à fait, bien sûr.
    Idem  Dans le sens strict, apparent, le « wokisme » sert à la gauche et à la droite pour ne pas parler d’économie, les premiers pour le défendre, les seconds pour l’attaquer.
    Et d’une façon historique, le pmisme a produit l’idée que la société était suffisamment riche pour ne plus avoir de problèmes à satisfaire les besoins vitaux.

    Les « bourgeois wokiste » voudraient émanciper la « classe opprimée » ? 

    Je comprend pourquoi vous êtes dubitatif, et ma formulation, solennelle et générale est peut-être maladroite. Mais votre réflexion ne se situe pas sur le même plan.
    Vous désignez exclusivement la crème de la bourgeoisie de gauche, c’est-à-dire les petits jouisseurs, tandis que je parle de la GBIP. Ouvrez n’importe quel média de gauche qui parle de politique et de société, et vous verrez qu’ils n’ont de cesse que de vouloir défendre les opprimés. Tandis que vous ouvrez n’importe quel média de droite équivalent, et vous verrez que les pauvres ne savent pas gérer leur argent, que les chômeurs sont tous des feignants, et que les riches, eux au moins ils créent des emplois.
    C’est ainsi que les choses se présentent, et de fait, historiquement et théoriquement, la gauche s’est construite dans la défense des petites gens, et des travailleurs en particulier  ce que j’appelais la mission historique de la gauche dans le post précédent, tandis que la droite a fonctionné sur la loi de Say, n’a que mollement appliqué Keynes, et fonctionne aujourd’hui sur la théorie du ruissellement, qui est une loi de Say bis, et qui estime qu’il faut donner aux riches parce qu’ils savent mieux que les autres.
    Maintenant, la gauche politique a trahi : tournant libéral et fondation St-Simon, et elle l’a fait en toute connaissance de cause. Mais, il faut admettre que le PS de Hollande est à droite.
    Aussi, il est vrai que dans les médias de gauche, quand on fait les proportions de sujets économiques et de sujets de sociétés, on voit qu’il y a une disproportion nette et une déconnexion des problèmes du peuple : pour des milliers de licenciements, des milliards perdus en vente d’industries stratégiques et en pertes d’impôts, des milliers de services publics (hôpitaux, postes, casernes, postes de police...) fermés, et 143 féminicides, il y a pratiquement autant d’articles sur les violences faites au femmes que tout le reste. C’est dans cette disproportion que se tient le problème. Il y a une déconnexion sur la question de l’oppression.
    Je pense réellement que c’est une déconnexion de la réalité plus qu’un truc pour vendre. Ça dépend des médias, mais de toutes façons, il y a des intellectuels tout à fait sincères dans leur déconnexion.
    Et pour ma part, j’ai une tendance à considérer que le type qui vend de la polémique, qu’elle soit de droite ou de gauche, est, lui-même, un mec de droite  c’est un commerçant libéral et il peut très bien faire du woke washing.

    Mon prochain article  qui en fait 3  traite des conditions historiques qui ont vu la pensée pm émerger. Mon but est notamment de montrer que, sans être victime, la classe bobo n’est pas non plus responsable de ce qu’elle est.



  • Nick Corey 6 octobre 2022 06:36

    @sylvain
    -Il me semble que ce que les classes popualaires reprochent avant tout aux « bobos », c’est d’avoir gardé les privilèges de la bourgeoisie en ne voulant plus assumer ses responsabilités : diriger la société pour la rendre prospère et puissante . Ils sont ainsi devenus de pures parasites de luxe

    C’est une formulation qui a du sens, mais c’est peut-être un peu une extrapolation. Il s’avère que dans le milieu du travail, on rencontre de plus en plus d’employés qui doutent des capacités de leurs chefs (c’est une position odieuse, l’impression d’être sur un bateau fantôme), et je suis tout à fait convaincu qu’il y a une chute générale de la capacité des bourgeois à diriger quoi que ce soit.
    Mais ce n’est pas spécifique à la bourgeoisie de gauche : nos capitalistes sont des gros nazes incapables de faire quoi que ce soit sans l’État français, les dirigeants politiques de droite sont aussi cons que ceux de gauche. La Mère Pen, qui concentre la majorité du vote prolo, est une très mauvaise cheffe de parti — la fuite de ses cadres chez Zimmy a été pitoyable.
    Et, surtout, ce modèle du bourgeois qui fait une société prospère et puissante en contre-partie de privilèges n’a jamais été très diffusée chez les prolétaires ( beaucoup plus dans la paysannerie, et encore)  c’est la vision des révolutionnaires anglais de 1640 (Cromwell en premier) et française de 1789 (pas de 92), cela n’a jamais été celle du prolétariat (à la limite : de la paysannerie, mais dans son attachement à la stabilité de l’Ancien Régime). Les prolos ne sont certes pas la classe révolutionnaire rêvée par Marx, mais ils n’ont jamais été attachés à l’ordre hiérarchique (même le vote LePen ne correspond pas à un désir de chef, mais plutôt de sécurité et de limite de l’immigration).

    Enfin, il me semble que, du point de vue économique, le reproche « de garder les privilèges sans rendre la société prospère » est équivalent à un reproche « de ne plus faire ruisseler les richesses » : que sont ces privilèges sinon les richesses produites par le pays ? Comment rendrait-on la société prospère sans utiliser ces richesses ?
    Mais ici aussi : le manque de ruissellement n’est pas un problème de gauche, mais plutôt de droite. Toute l’Histoire de pol. éco. de la 3ème République est celle de la lutte du prolétariat, de plus en plus soutenu par la gauche, pour obtenir du ruissellement de la part de la droite.
    Pour autant, nous pourrions dire que la gauche, qui soutenait justement les prolétaires avant dans leurs luttes, ne remplit plus sa mission, et nous demander si c’est justement ce que les prolos leur reprochent. Mais ça, c’est ce que disent les économistes de gauche, et c’est plutôt bidon. C’est une façon de se la jouer, c’est présomptueux. Les prolos, ils s’en foutent complètement de la mission historique de la gauche, ils savent pas ce que c’est. Ce qu’ils voient, c’est que la gauche leur parle de zizi et de couleur de peau, alors qu’eux, ils sont en train de crever la dalle. Ce qui produit la détestation de la gauche, ce n’est pas tant ce qu’elle ne fait pas, mais ce que, justement, elle fait. Et ce n’est pas une histoire de privilèges, mais de sujets de préoccupations.

    Pour ce qui concerne ma formulation, j’ai un commentaire (auto-comment, oui je sais...).
    Les classes popus n’utilisent pas le mot « gentrification », ou alors ils l’introduisent avec un « comment ils appellent ça déjà ? », pour bien souligner que le mot est frimeur. En revanche, ils parlent de boboïsation (et pas seulement à Paris), et ils disent : « ils nous foutent du woke partout ».
    J’utilise le mot « gentrification » avec ironie, et l’expression « idéologie woke » par provocation. Dans un article à venir, j’expliquerai pourquoi je préfère le mot « bobo » au mot « gentrification »  avec tout un historique du mot.



  • Nick Corey 3 mars 2020 22:01

    @Kapimo
    Votre gene à parler de ceux qui ont animé le courant de pensée égalitariste n’a pas lieu d’etre, et votre dérision sonne faux
    De quelle gêne parlez-vous ? J’ai écrit un pavé sur le christianisme juste au-dessus... Et, au dehors de quelques accès d’ironie, je suis très sérieux. 

    Ça devient tendu, par ailleurs. Vous ouvrez le bal des hostilités avec la première attaque personnelle. Pas d’insulte, vous restez courtois, mais on sent la tension. Alors je me permets de répondre : le fait que vous ne répondiez pas aux points que je développe me laisse croire que vous ne lisez que rapidement (voire pas vraiment) mes réponses, et que vous n’utilisez cette page que comme une tribune pour diffuser les fables surréalistes crypto-soraliennes.
    Néanmoins, je vais répondre. Parce que je trouve sincèrement cette discussion intéressante.

    Déjà, j’insiste sur le fait que la valeur d’égalité (en tant que théorisée) est une création chrétienne. Vous qui avez des petites tendances maurassiennes, vous devriez le savoir. Maurras rappelait l’origine juive du christianisme et lui opposait le catholicisme français, christianisme paganisé. Le modèle français des trois Ordres a, pour lui, balayé la valeur d’égalité pour lui substituer un Ordre qui comprend, assimile et régule les inégalités : monarchie, noblesse, corporations des métiers, professions héréditaires...
    Maurras a, paradoxalement, une vision latine de la France. Au nord de la France, sa doctrine ne tient plus, puisque la valeur d’égalité chrétienne (théorisée) s’est bien arrangée avec des pratiques égalitaires ancestrales. Aussi, les paysans du nord de la France n’ont-ils jamais adopté la primogéniture, à aucune période que ce soit.

    Pour la suite...

    Je n’ai eu l’occasion de feuilleter le Véritable Illuminé que deux ou trois fois, il y a déjà longtemps, et le texte n’est pas trouvable sur internet. Je ne peux malheureusement croiser le fer avec vous sur le détail du texte. Je vous invite à citer le texte pour me prouver ce que vous affirmez.
    Mais tout de même, on peut dire deux trois trucs sur cet acarien de l’Histoire.
    Weishaupt est théologien et empiriste, dans la lignée des anglais. Si l’on en croit ce qu’on trouve sur internet, il est particulièrement anti-kantien. Il est déiste. Il me semble qu’il est un portrait typique de l’anticlérical de l’époque, cynique et un peu comploteur. Finalement sa démarche est proche de celle des révolutionnaires bourgeois français. Il est voltairien comme dirait Guillemin. Si le texte du Véritable prône réellement une abolition de tout gouvernement légal, je tends à douter de sa sincérité. Un comploteur veut le pouvoir, et non l’abolir.

    Marx est matérialiste et athée. Il est dans l’héritage de Hegel qui est dans l’héritage de Kant. Il rejette l’empirisme anglais que Weishaupt prône. Marx ne complote pas, et rejette toute forme de complot, qu’il associe à de la fausse conscience, de la décadence de mœurs, du fait lumpenprolétarien. Il ne prône pas l’existence d’une élite. Complot, élite politique, tout ça, c’est léninotrotskiste.
    Aussi, à propos de la liste que vous faîtes,
    1/ Je récuse l’abolition de la famille. 
    Il s’agit d’abolir la famille bourgeoise. Or « Le prolétaire est sans propriété ; ses relations de famille n’ont rien de commun avec celles de la famille bourgeoise. » Pour Marx, le Capital a déjà détruit la famille prolétaire, et la famille paysanne est corrompue par l’Ancien Régime (ce n’est pas faux, mais Marx a une idée assez fausse de la paysannerie)
    On va se calmer, Marx n’a pas l’intention de mettre les enfants en commun, comme chez Platon. Il aimait sa famille et il comprenait tout à fait l’attachement filial.
    2/Je confirme la création de la Banque Centrale.
    Mais il ne s’agit pas d’une banque centrale façon FED, ni Banque européenne, ni Banque de France, façon Napoléon 1er. Dans la mesure où Marx est contre l’élite politique, cela signifie que les décisionnaires de la Banque Centrale sont l’Assemblée des travailleurs, et non une banque de gangsters comme c’est le cas dans les exemples cités. Le pilotage de l’économie par les Banques Centrales, tel qu’il est pratiqué aujourd’hui est un truc qui aurait horrifié Marx. Et qui effraient aussi les néolibéraux, en fait  même si, eux, savent faire avec.
    Par ailleurs, Weishaup est toute l’image du sale bourge décadent que Marx déteste et condamne. Il n’y a pas de lien possible.

    Pour ce qui concerne la suite de ce que vous dîtes, je suis d’accord avec plusieurs points. Mais pas du tout sur la façon dont vous les présentez.
    Même si c’est un peu caricatural ( et une vision centrée sur la France et non sur le monde), il est vrai qu’il y a un dualisme, une dialectique spectaculaire mais creuse, bloquante et assourdissante, qui s’est produite entre libéralisme et marxisme au vingtième siècle, et que l’on peut comparer aujourd’hui au dualisme identitaire gaucho et identitaire facho. J’insiste sur vingtième, puisque, déjà, y a deux siècles, Marx avait deux ans, et que, en 1870 encore, il n’y avait pas beaucoup de marxistes. Mais surtout, cela ne devient du Spectacle qu’à partir de la Guerre Froide.
    Et même, on peut nuancer sur le caractère bloquant, puisque c’est grâce à ce dualisme qu’on a pu résister au capitalisme en France.
    Mais surtout :
    1 le néolibéralisme n’est pas antinational. Hayek est un gros natio. La mondialisation libérale, ce n’est pas l’abolition des frontières, c’est de l’impérialisme à l’anglaise (même si Hayek était autrichien d’origine) : une minorité plus maline domine les autres. Et on se fout royalement, par ailleurs de savoir si ces autres sont égaux entre eux.
    2 Vous confondez matérialisme historique et fétichisme de la marchandise. Marx est matérialiste dans un sens précis : c’est sa façon de comprendre l’Histoire. Mais il n’est pas matérialiste au sens libéral, c’est-à-dire qu’il ne dit pas que seules la production matérielle et la consommation compte. Si, pour lui, la culture et le spirituel (comme vous dîtes) contemporains ne sont que les reflets des rapports de production dominée par le Capital, il n’exclut pas l’idée que, une fois libérés des conditions capitalistes, les humains pourraient produire une nouvelle culture. Néanmoins, il ne dit rien sur ce que cela pourrait être.
    3 Ainsi, si on peut dire qu’il est pour le travail obligatoire (vous avez oublié « service », non ?), c’est surtout dans l’idée que les bourges vont devoir se mettre à bosser. Marx, qui n’a pas prédit la délocalisation, voit dans l’automatisation le mouvement irrémédiable de la libération du temps de travail : le travailleur aura le temps de se cultiver et de prendre conscience de sa condition. Au contraire de ce que vous semblez dire, il n’est pas pour l’esclavage, et pense que, avec la machine, les humains n’auront plus qu’à bosser quelques heures par jour.

    Il me semble que pour critiquer Marx adéquatement, il faut d’abord se fonder sur les textes, et non sur les interprétations approximatives de quelques malheureux. Si je suis d’accord avec Marx sur de nombreux points, je ne suis pas marxiste, et oui : il nie beaucoup trop la dimension spirituelle de l’humain, il n’a pas saisi adéquatement le sens des religions, etc... Mais c’est méconnaître profondément Marx que de le relier à des associations comploteuses. 

    D’une façon générale, rechercher les complots de l’Histoire peut être une vraie discipline, mais pour que cela devienne intéressant et utile, il faut être rigoureux dans son travail, et pas simplement associer toutes les figures de l’Histoire qui nous apparaissent détestables (sans généralement les connaître) et se persuader qu’ils se sont ligués rien que pour nous faire peur.



  • Nick Corey 2 mars 2020 22:05

    @uleskiserge 

    Je viens de lire votre texte. Je suis d’accord avec vous sur l’essentiel.

    Bon, vous insistez plus sur Blair que Thatcher, mais c’est pas important.

    Très bien de rappeler le parcours des Blair, Shröder. On peut ajouter que Thatcher était en Banque privée avant, et consultante pour Filip Maurice après avoir été Irongirl

    En tous cas, c’est exactement cela qu’il faut opposer à la distinction inutile du statofinancier.

    Je trouve utile de rajouter un truc, à propos de l’exhortation toddienne à une alliance avec les USA, et (quand même !) la FED.

    C’est justement ce qu’a réussi à éviter de Gaulle à la fin de la guerre. Les USA voulaient imposer le Franc-dollar. On a réussi à éviter ça alors qu’on sortait de l’Allemagne nazie... 

    Et puis la FED, quoi... La créature de Jekyll Island, tout ça... Todd parle de dindes qui votent pour Noël, mais justement...

    Un type, je crois que c’est Robnoir-Giléjone-man, a suggéré à Todd un rapprochement avec la Russie, et il a balayé d’un coup en disant que le rouble n’était pas assez fort.

    Mais y a une légende qui dit que Poutine (qui ne nous leurrons pas pour autant, reste un taré) veut faire une alliance monétaire avec la Chine et la Syrie, et peut-être plus, sur la base d’un étalon-or. Si c’est avéré, cette alliance concurrencera le dollar d’une façon nette, et l’euro va finir par être pulvérisé pour de vrai.

    De toutes façons, faudra choisir son camp

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