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Jonas

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  • Premier article le 04/01/2020
  • Modérateur depuis le 27/09/2021
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Derniers commentaires



  • Jonas Jonas 16 janvier 13:08

    @Jérémy Cigognier « Vous l’essentialisez en sa force, c’est ridicule, et reprocher à un aigle d’être un aigle est encore plus ridicule. »

    L’aigle agit par instinct de survie pour se nourrir, c’est sa nature propre, comme tous les rapaces.
    Les nietzschéens justifient alors que l’homme puisse être un rapace comme l’aigle, car ils ne distinguent pas le monde animal du monde humain. Ce qui autorise toutes les dérives et totalitarismes.

    « En ce qui concerne l’animal, c’est Descartes qui a été le premier, avec une audace digne d’admiration, à avoir osé l’idée de comprendre l’animal comme machina : toute notre physiologie s’efforce d’apporter la preuve de cette thèse. Logiquement, nous ne mettons plus l’homme à part, comme le faisait encore Descartes : tout ce qu’on peut aujourd’hui comprendre de l’homme est exactement circonscrit par les limites où l’on peut le comprendre comme une machine. »
    Nietzsche l’Antéchrist 14



  • Jonas Jonas 15 janvier 22:55

    @Jérémy Cigognier « intégriste qui ne veut même pas savoir que le rapace a aussi des faiblesses »

    Des faiblesses ? Non, il profite de sa force pour exploiter et asservir. Procédé typiquement nietzschéen
    rapace : « Qui cherche à s’enrichir rapidement et brutalement, au détriment d’autrui. »



  • Jonas Jonas 15 janvier 13:31

    « Aussi, la rapacité s’avère-t-elle singulièrement charitable, et même lumineusement, lorsqu’elle fond sur sa proie : elle doit la soulager de cette épuisante alternance dans la mort. La mort est ici un remède, une grâce, une libération... ’

     »Jésus peut nous regarder avec tout l’amour possible, que ça ne change rien à cette affaire, entamée avec l’élection d’Israël... c’est-à-dire la charité du Dieu pour Jacob : c’est parce que le Dieu, rapacement, voulait mettre la main sur Jacob, qu’il fut charitable envers lui, et rien d’autre. « 

     »La charité est une rapacité comme les autres« 

     »Ni charité ni rapacité ne sont recommandables, à qui veut être libre d’esprit« 

    Une doctrine typiquement issue du paganisme nietzschéen qui retourne l’homme contre Dieu pour prendre sa place en se prétendant tout puissant. Elle nie l’humilité christique et la faiblesse de l’homme.

    Porter secours et réconfort à celui qui est faible, en danger, lui faire la charité, comme le demande le Christ, c’est un aveu de faiblesse, qui serait contraire à l’instinct de survie.
    C’est nier tout espoir de rachat au faible, il est condamné et doit être écrasé, comme dans le monde animal.
    Du darwinisme social qui a inspiré Adolf Hitler.

    Et non, la charité n’est pas une »rapacité comme les autres« , elle est un Don que Dieu a inscrit en nous, pour Sa Gloire :

     »Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas la charité, cela ne me sert de rien. La charité est patiente, elle est pleine de bonté ; la charité n’est point envieuse ; la charité ne se vante point, elle ne s’enfle point d’orgueil, elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche point son intérêt, elle ne s’irrite point, elle ne soupçonne point le mal, elle ne se réjouit point de l’injustice, mais elle se réjouit de la vérité ; elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout.

    La charité ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie,mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra.Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant ; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant.Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu.Maintenant donc ces trois choses demeurent : la foi, l’espérance, la charité ; mais la plus grande de ces choses, c’est la charité."Corinthiens I 13:2-13




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