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Jonas

Jonas

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  • Premier article le 04/01/2020
  • Modérateur depuis le 27/09/2021
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Derniers commentaires



  • Jonas Jonas 3 juin 15:56

    Le dernier PASDEVAGUE avant la tragique mort de Lindsay, a été celui dont on a lâchement usé pour ignorer le danger que courait Samuel Paty (décapté par un islamiste). Il avait, comme la mère de Lindsay, pourtant bien tiré la sonnette d’alarme et n’avait pas été entendu."

    Les institutions de la République ont condamné Samuel Paty pour son outrage à l’islam, et ont du accueillir avec un immense soulagement, la décapitation d’un professeur aux abois dont on ne savait plus que faire.
    Le mail adressé le 8 octobre 2020 par le référent laïcité qui devait rencontrer Samuel Paty suite à la polémique des caricatures est très explicite :
    « Bonjour, Madame la Principale, comme suite à notre échange, je vous confirme ma présence demain 13 h 45 à vos côtés pour recevoir M. Paty, professeur d’histoire-géographie, en présence de Mme X., CPE. Cet entretien portera notamment sur les règles de laïcité et de neutralité que ne semble pas maîtriser M. Paty. »
    Si Mr Paty n’avait pas été décapité par le terroriste islamiste, il aurait été certainement mis à pied tout comme Frédéric Mortier, sanctionné par les autorités républicaines pour son islamophobie patentée et son affront contre les musulmans en ne respectant pas la charia islamique.



  • Jonas Jonas 3 juin 15:48

    « Mais dans le cas de Lindsay, les harceleurs étaient bien connus de tous »

    Tout à fait, et comme dans la plupart des cas de harcèlement scolaire, un problème qui pourrait être réglé en cinq minutes prend des proportions considérables à à cause de la lâcheté de l’Éducation Nationale et de la république.

    On accuse ensuite pour se défausser et détourner l’attention, les « réseaux sociaux ».



  • Jonas Jonas 3 juin 14:21

    @Grincheux « Pourquoi limiter l’éthique aux êtres humains ? »

    Parce que la vie humaine est Sacrée au nom du Christ, elle n’est pas sur le même plan que la vie animale.

    Si vous tuez un moustique, un cafard, un rat, une poule ou un lapin, on ne va pas vous jeter en prison.

    Ce qui ne veut pas dire dire pour autant que l’on ne doive pas respecter la vie animale.

    Les militants des dérives sectaires athées qui prétendent qu’il n’y a pas de différence entre la vie animale et la vie humaine, (athée, communiste, philosophie des Lumières, etc...) peuvent écraser un moustique aussi bien q’un être humain.



  • Jonas Jonas 3 juin 13:15

    « 27- Un amendement adopté à la sauvette par les députés en pleine nuit, entre le 31 juillet et le 1er août 2020, autorisait l’IMG pour « cause de détresse psychosociale », concept passablement flou et critère invérifiable. C’est pour cette raison que l’amendement a été supprimé par le Sénat le 18 janvier 2021. »

    Effectivement, l’amendement sur l’avortement pour « détresse psychosociale » a finalement été abandonné, je ne l’avais pas vu.



  • Jonas Jonas 3 juin 12:43

    Porter atteinte à la vie d’autrui n’est pas un droit, le fœtus humain n’a pas le même ADN que sa mère, il est donc un corps étranger, un être unique, une identité à part entière, une vie en puissance.

    Y mettre fin volontairement est un crime, commis de manière la plus horrible, révélé dans le célèbre documentaire du docteur en gynécologie Bernard Nathanson « le cri du silence »(âmes sensibles s’abstenir), où une échographie filmée en temps réel pendant un avortement, montre en détail la destruction du fœtus qui résiste et essaie d’échapper à la mort.

    Éliminer de manière industrielle les enfants comme c’est le cas actuellement n’est pas un droit, c’est un crime : plus de 220 000 avortements sont pratiqués par an en France.

    Quand une civilisation tue ses enfants en masse en refusant le « miracle qui sauve le monde » par lequel Hannah Arendt désignait la naissance, elle finit soit par s’éteindre, soit par être submergée.

    Rappelons que le droit français autorise l’avortement jusqu’à la 36ème semaine, c’est à dire que si la mère se sent en « détresse psychosociale », elle peut décider de faire tuer son bébé en pleine santé à la naissance.

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