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Jean-Paul Foscarvel

Jean-Paul Foscarvel

Cadre "de base" en entreprise et auteur de textes divers, nouvelles et pièces de théâtre.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/04/2008
  • Modérateur depuis le 05/07/2008
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Derniers commentaires



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 12 février 20:39

    Il semblerait que Biden a également eu récemment, euh, une interview, avec quelqu’on, on se pas trop qui, sur un sujet, mais il a oublié. Ah oui, un procès, avec son fils, lequel, il ne sait plus vraiment. Bon, mais à part ça, il n’est en guerre contre personne, même s’il a dû bombarder par ci par là, où déjà ? En Orient, mais c’est si loin. De plus, ce sont de gentilles petites attaques contre des méchants aux dents longues.

    Grâce à cela, il a pu démontrer qu’il tenait la barre du destin du monde avec fermeté et courage.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 12 février 20:31

    @sylvain
    C’est vrai. C’est exactement ce que fait l’occident.
    C’est Thatcher, amie de Pinochet, qui disait « TINA », there is not alternative.
    C’est-à-dire qu’il n’y a qu’une seule façon de penser, celle des USA-UE qui veulent imposer un monde régit selon leurs règles, en dénégation de toute alternative possible.
    Et leurs règles passent par la destruction systématique des populations du monde, y compris celles de l’UE elle-même (on le voit avec les paysans).
    L’élite financière internationale veut optimiser à fond ses profits, et pour elle a besoin de ces destructions, car le monde matériel, et sa population, lui coûte, tout simplement.
    Ils veulent détruire la Russie pour s’arroger les fruits de son sol, comme ils l’ont fait dans d’autres pays, et comme ils veulent le faire à Gaza.
    Ils décrètent qui a de la valeur et qui n’en n’a pas, qui doit être sauvé et qui doit être exterminé. Ils n’ont aucune limite, aucun sentiment, aucune humanité.
    Le capitalisme immatériel et financier est le vrai danger pour l’humanité et commence à montrer son vrai visage et celui-ci est terrifiant.
    Si l’histoire a condamné le national-socialisme, ou la création d’un monde réservé à une ethnie qui voue le reste à la destruction, elle condamnera aussi l’oligo-capitalisme, qui réserve les fruits du capitalisme à l’oligarchie, le reste étant voué à la destruction.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 janvier 21:11

    @Lynwec
    Le R est mal vu en ce moment.
    On peut dire « l’UESS »
    Avec la Hyène à sa tête, ça lui va bien.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 janvier 21:08

    Une autre raison.

    Imaginons qu’un parti réellement anti-européen se présente, et qu’il ait du succès. Quoiqu’il arrive, il ne sera pas majoritaire. Par contre, il aura des eurodéputés, payés par l’UE, siégeant au Parlement, discutant avec d’autres députés moins anti, partageant avec eux des coupes de champagne, des petits fours, etc.

    Entre le financement par l’UE et les accointances, va-t-il longtemps tenir un discours franchement anti ?

    N’est-ce pas au contraire la meilleure façon de le neutraliser ?

    Le mieux est alors de ne pas voter pour lui à ces élections-là.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 janvier 20:56

    Une raison supplémentaire, mais fondametale, est que l’approbation se fait à la majorité simple et le rejet à la majorité des inscrits. C’est une chambre d’enregistrement.

    Il est quasiment impossible que le parlement rejette une proposition de la Commission. Il n’y a aucun caractère démocratique dans la procédure d’adoption du Parlement qui est un vrai labyrinthe.

    Voici la procédure (traité sur le fonctionnement de l’UE) :

    "Article 294

    (ex-article 251 TCE)

    1. Lorsque, dans les traités, il est fait référence à la procédure législative ordinaire pour l’adoption d’un acte, la procédure suivante est applicable.

    2. La Commission présente une proposition au Parlement européen et au Conseil.

    Première lecture

    3. Le Parlement européen arrête sa position en première lecture et la transmet au Conseil.

    4. Si le Conseil approuve la position du Parlement européen, l’acte concerné est adopté dans la formulation qui correspond à la position du Parlement européen.

    5. Si le Conseil n’approuve pas la position du Parlement européen, il adopte sa position en première lecture et la transmet au Parlement européen.

    6. Le Conseil informe pleinement le Parlement européen des raisons qui l’ont conduit à adopter sa position en première lecture. La Commission informe pleinement le Parlement européen de sa position.

    Deuxième lecture

    7. Si, dans un délai de trois mois après cette transmission, le Parlement européen :

    a) approuve la position du Conseil en première lecture ou ne s’est pas prononcé, l’acte concerné est réputé adopté dans la formulation qui correspond à la position du Conseil ;

    b) rejette, à la majorité des membres qui le composent, la position du Conseil en première lecture, l’acte proposé est réputé non adopté ;

    c) propose, à la majorité des membres qui le composent, des amendements à la position du Conseil en première lecture, le texte ainsi amendé est transmis au Conseil et à la Commission, qui émet un avis sur ces amendements.

    8. Si, dans un délai de trois mois après réception des amendements du Parlement européen, le Conseil, statuant à la majorité qualifiée :

    a) approuve tous ces amendements, l’acte concerné est réputé adopté ;

    b) n’approuve pas tous les amendements, le président du Conseil, en accord avec le président du Parlement européen, convoque le comité de conciliation dans un délai de six semaines.

    9. Le Conseil statue à l’unanimité sur les amendements ayant fait l’objet d’un avis négatif de la Commission.

    Conciliation

    10. Le comité de conciliation, qui réunit les membres du Conseil ou leurs représentants et autant de membres représentant le Parlement européen, a pour mission d’aboutir à un accord sur un projet commun à la majorité qualifiée des membres du Conseil ou de leurs représentants et à la majorité des membres représentant le Parlement européen dans un délai de six semaines à partir de sa convocation, sur la base des positions du Parlement européen et du Conseil en deuxième lecture.

    11. La Commission participe aux travaux du comité de conciliation et prend toute initiative nécessaire en vue de promouvoir un rapprochement des positions du Parlement européen et du Conseil.

    12. Si, dans un délai de six semaines après sa convocation, le comité de conciliation n’approuve pas de projet commun, l’acte proposé est réputé non adopté.

    Troisième lecture

    13. Si, dans ce délai, le comité de conciliation approuve un projet commun, le Parlement européen et le Conseil disposent chacun d’un délai de six semaines à compter de cette approbation pour adopter l’acte concerné conformément à ce projet, le Parlement européen statuant à la majorité des suffrages exprimés et le Conseil à la majorité qualifiée. À défaut, l’acte proposé est réputé non adopté.

    14. Les délais de trois mois et de six semaines visés au présent article sont prolongés respectivement d’un mois et de deux semaines au maximum à l’initiative du Parlement européen ou du Conseil.

    Dispositions particulières

    15. Lorsque, dans les cas prévus par les traités, un acte législatif est soumis à la procédure législative ordinaire sur initiative d’un groupe d’États membres, sur recommandation de la Banque centrale européenne ou sur demande de la Cour de justice, le paragraphe 2, le paragraphe 6, deuxième phrase, et le paragraphe 9 ne sont pas applicables.

    Dans ces cas, le Parlement européen et le Conseil transmettent à la Commission le projet d’acte ainsi que leurs positions en première et deuxième lectures. Le Parlement européen ou le Conseil peut demander l’avis de la Commission tout au long de la procédure, avis que la Commission peut également émettre de sa propre initiative. Elle peut également, si elle l’estime nécessaire, participer au comité de conciliation conformément au paragraphe 11."

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