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Jean-Paul Foscarvel

Jean-Paul Foscarvel

Cadre "de base" en entreprise et auteur de textes divers, nouvelles et pièces de théâtre.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/04/2008
  • Modérateur depuis le 05/07/2008
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Derniers commentaires



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 26 mars 16:44

    Bien vu.

    J’habite dans une ville devenue écocloco, euh écolo.

    Ils ont remplacé les couloirs de bus par des pistes cyclables, mais les trotinettes continuent de passer sur les trottoirs, de bousculer les piétons, et les transports en commun bloquent ou sont bloqués par la circulation. J’appelle cela le « vélocipédisme » contre la flânerie du piéton et le déplacement du travailleur.

    Comme ils sont écolos, ils sont pour les écoquartier. Ils démolissent tous les petits pavillons, avec leurs jardins, leur faune, leur flore, pour les remplacer par des immeubles en béton (éco-béton garanti). Le comble, se sont les pancartes où ils prétendent « renaturer la ville » avec des images d’arbustes qui n’existent pas.

    Et bien sûr, ils sont fiers des JO, qui les aident à détruire le patrimoine des classes moyennes, la ville avec ses espaces bucoliques, pour les remplacer par des espaces verts au cordeau entre piste cyclable et trottoirs rapeticé.

    J’en ai déduit que les écolos, non seulement n’aiment pas les pauvres, les classes moyennes, mais aussi la nature qui les dérange. Aux espaces naturels, ils préfèrent des « espaces verts » où ils peuvent tout contrôler. Il ne faut pas confondre écologisme et écologie, la vraie, qui respecte la nature. De fait, ils sont au service du système financier qui veut détruire les classes moyennes et pauvres sous prétexte de sauver la planète. Ce qu’ils sauvent, ce sont les bénéfices de BlackRock.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 13 mars 10:51

    L’obscurité des temps actuels provent notamment de la propension à l’agressivité, l’absence d’écoute de l’autre, le repli sur l’identité vue comme un atout dans une lutte sans fin des uns contre les autres.

    Ce que j’appelle « turbo-capitalisme » a engendré un monstre socio-sociétal où chacun se croit en consurrence exacerbée avec l’autre et veut à tout prix l’emporter sur le marché de l’être.

    Mais être, justement, ne peut se référer à un marché, mais à un échange, une écoute, un sentiment, vis-à-vis de l’autre.

    Non plus être pour soi, mais être avec l’autre, en compréhension réciproque.

    Quant aux idées, on n’échange plus, on invective. Dans ce cas, inutile d’essayer de progresser.

    Voilà où on en est et on obtient un président qui pour faire oublier un désastre personnel fuit par le désastre global et prône la fin de l’humanité pour éviter sa propre fin.

    C’est à la fois tragique et comique.

    La fin de l’humanité sera-t-elle due à un geste stupide de dirigeants stupides ?



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 12 mars 22:11

    @Octave Lebel
    Merci pour le lien.
    Je suis d’accord avec la réponse sociale et économique pour les classes populaires rurales (mais aussi urbaines d’ailleurs), mais les forces auxquelles s’opposer sont désormais considérables, puissantes et manipulatrices.
    Le complexe Gafas-Pharma-finance, désormais appuyé par le CMI, utilise tous les leviers pour diviser, séduire, manipuler, censurer, éliminer.
    Ce complexe se sert de la modernité et de l’environnement afin de détruire les bases sociales et économiques des Etats, allant jusqu’à les privatiser comme Milei en Argentine (sauf que Milei n’est probablement pas à mettre du côté moderniste).
    On a donc deux forces principales, celle du système, capitalisme dont les profits sont issus de l’immatériel et de la finance, et celle du traditionalisme, qui reproche au premier non pas tant le côté anti-social, mais le côté sociétal, et est plutôt pour un capitalisme traditionnel, matériel, industriel.
    La Nupes est alors formée d’un côté par les socialistes et écologistes, pro-système, libéraux et anti-sociaux (surtout les écologistes avec les mesures d’exclusion des logements et automobiles), et LFI, plus pro-social.
    En passant de la ligne droite simple à ces trois axes, cela permet de comprendre des éléments a priori bizarres. Mais je ne prétends pas tout expliquer, notamment quant aux positionnements réels qui sont plus complexes et surtout variables dans le temps.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 27 février 10:38

    @Ouam (Paria statutaire non vacciné)
    Biden ne suffira pas.
    Il y a derrière lui la haute finance, les GAFAS, le big pharma, de sinistres institutions et de sinitres individus comme Soros, Schwab, Bill Gates, Ils sont près à détruire une bonne partie de l’humanité, à privatiser les Etats, à confisquer les biens de la population, pour étayer leur pouvoir et surtout optimiser leurs profits. Ils n’ont aucune limite et préfèront détruire la planète entière y compris avec la mort atomique plutôt que de perdre.
    Ils sont le mal.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 12 février 20:39

    Il semblerait que Biden a également eu récemment, euh, une interview, avec quelqu’on, on se pas trop qui, sur un sujet, mais il a oublié. Ah oui, un procès, avec son fils, lequel, il ne sait plus vraiment. Bon, mais à part ça, il n’est en guerre contre personne, même s’il a dû bombarder par ci par là, où déjà ? En Orient, mais c’est si loin. De plus, ce sont de gentilles petites attaques contre des méchants aux dents longues.

    Grâce à cela, il a pu démontrer qu’il tenait la barre du destin du monde avec fermeté et courage.

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